mardi 30 novembre 2010

grande désirante ' Kimiko Yoshida'



   Après avoir assisté à une conférence de Kimiko Yoshida, ce que j'ai trouvé, c'est qu'elle est très courageuse, avantureuse. A mon avis, elle était sûrement influencéé par ce qu'elle a fait avant comme le métier au Japon, même par sa propre histoire et celle de sa mère, celles de femmes japonaises tandis qu'elle a répondu 'Non' à ma question. Je vois pourtant, psychanalytiquement quelques empreintes dans ses travaux. 
  Certes, il y a certainemant de la qualité. Surtout elle a bien choisi une tendance de travaux qui peut être encore plus impressionnant pour les archéologues et les marchands de mode. Même si ses travaux sont un peu rigides, secs pour mes yeux.

dimanche 28 novembre 2010

Intervention : Kimiko Yoshida

Pour commencer, j'étais très ravie, non heureuse n'ayons pas peur des mots, de pouvoir rencontrer Kimiko Yoshida.

J'avais vu son exposition à la Maison Européenne de la Photographie. J'étais ensuite aller jeter un oeil sur son site. Je m'en était fait mon interprétation, ma compréhension.
En tant que photographe, mon travail se rapproche finalement assez du sien et j'ai vraiment beaucoup apprécier pouvoir entendre ce qu'elle veut faire passer via ses images.

De ce point de vue, j'étais comblée.

Cependant, concernant son parcours, je dirais qu'elle a eu beaucoup de chance. Non pas qu'elle n'ait pas de talent loin de là mais elle également eu beaucoup de chance. Je connait beaucoup de personnes qui ont au moins (sinon plus, mais ça c'est personnel) autant de talent qu'elle et qui pourtant ne se sont pas exposés à la sortie d'une école sup' de photo. Je pense que la chance a à voir dans son parcours et que son parcours est loin de ressembler à la grande majorité des personnes qui aspirent à être photographe, un jour. Le fait de ne pas avoir à batailler, prospecter, et même se permettre de se détacher des galeries n'est pas donné à tout le monde et c'est en ça que son parcours est, selon moi, pas du tout représentatif du parcours qui peut nous attendre. Mais tout cela n'est biensûr que mon humble avis.

De plus, j'aurais aimé voir d'autres photographies que celles qui marchent pour elle et qui font qu'elle est reconnue. Par exemple ce qu'elle faisait avant, ce qu'elle a présenté à son entrée à Arles, ce qu'elle faisait à cette époque là.
Parce que c'est bien des images qui font d'elle une photographe reconnue, mais ayant parlé de son parcours (et je pense qu'elle savait qu'on allait parler des années antérieures) les images qui étaient présentées ne reflétaient pas du tout selon moi ce qui a pu jouer en sa faveur à un moment donné de sa vie.
Ce n'est pas donné à tout le monde d'entrer à Arles et encore moins d'être reconnue. Et dans une vie de photographe on passe par bon nombre de book à présenter, de thèmes et d'essais avant de trouver LE sujet.

Alors certes, ses photographies actuelles ont un sens, elles tiennent la route et elle les défend bien mais qu'y a t-il eu avant ? C'est la seule question que je me pose encore depuis cette entrevue...

Malgré tout ça, comme je le disais, j'étais vraiment heureuse de pouvoir la rencontrer et surtout échanger avec elle.

samedi 20 novembre 2010

l'artiste des poubelles - ''ARMAN''

22septembre 2010 - 10 JANVIER 2011
Au Centre Pompidou, Paris

C'est une rétrospective qui propose une traversée de toute la production artistique d'Arman à travers une centaine d'oeuvres, dans sept sections thématiques. A partir d'objets de rebut, Arman imaginait des Poubelles, des Accumulations, des Colères, des Coupes, des Combustions, des Inclusions, etc...
Cette exposition est bien aménagée au Pompidou en montrant ce sept différant thème.

Il est né à Nice en 1928, décédé à New York en 2005.
Arman affectionnait les boîtes, les cases, les territoires prospectifs du jeu d'échec et surtout du jeu de gout depuis 1954
 «‘Je me servais d’un objet pour inscrire une trace. C’est une de mes avancées vers l’objet’ »                      -Arman

J'ai commencé de regarder par le premier thème- 'De l'informel A l'objet'
Il y a plusieurs œuvres des gestes automatiques la surface de la feuille ou du tableau, par exemple 'Cachet OEil de tigre', 1959. (était réalisé après avoir vu une peinture chinoise de tigre), mais pour moi, cela ne serait pas facile de reconnaitre le caractéristique tigre sans ne pas lire l’explication sur ce tableau. Puis qu'il a fait seulement des tampons, des traces en utilisant des objets de rebut, très répétitif. Cette partie montre que Arman a dirigé son travail d'une peinture non figurative vers 'Allures d'objets' après avoir vu certains tableaux de Jackson Pollock, 1954
Ce que j’ai trouvé ici, c’est très musical ses travaux avec des traces répétitives.  

Deuxième thème - 'Les poubelles, le plein'
A partir d’ici, on peut voir vraiment beaucoup de ordures, déchets. Il y a un film sur le ramassage et le stockage des ordures produites chaque jour par la ville de New York, et aussi des boîtes en verre du contenu d'une poubelle. Cela devait certainement  économiser pour fabriquer l’œuvre d’art sauf qu’ils puent. (^  ^)

Troisième thème- 'La masse critique de l’objet '
Vous pouvez voir une Accumulation de masques à gaz dans boîte en bois et plexiglas 160x140,5x20,3cm

Quatrième thème- 'Colères er coupes '  
Pour chaque colère, il travaillait avec une gestualité empruntée à la pratique des arts martiaux(ses actions dans le vidéo m’a fait rire), qu’il adapte pour sauvegarder partiellement l’identité de l’objet. Il a même inventé des Colères spectaculaires en détruisant les objets, les instruments pour rendre durable, éternel en le présentant sous une nouvelle forme. Cela pourrait vous rappeler du cubisme, le constructivisme ou futurisme devant ses œuvres.

Cinquième thème- ' Archéologie du future'
Voila, ici on peut voir des œuvre plongés en résine ou en ciment pour protéger des œuvres constituées de débris. Il a fait référence aux fossiles et aux sites archéologiques. Il voulait garder, emprisonner une esthétique de la ruine comme si il voulait garder le temps et son philosophie par rapport à l’objet. Il a fait des fossiles de ses œuvres  avec sa manière.

Sixième thème- ' Arman, Renault : Art et Industrie'
Il n’aborde plus un objet fini mais les unités qui assemblées, composent un objet industriel comme l’automobile,  Il y a des grandes sculptures. Surtout vous pouvez voir une grande voiture blanche en découpage, en unité qui attire plus nos yeux, au moins pour mes yeux.

Septième thème- ' J’ai refait le peintre '
Il y a de vidéo qui fait la démonstration de sa peinture. Il accumule et piétine des tas de tubes. Il laisse couler les tubes sur les toiles. Il y a une ressemblance entre ses travaux et  celui de Jackson Pollock, le côté du geste répétitif  en plein écran.
Vous allez voir aussi une œuvre d’une interprétation personnelle de La Nuit étoilée de Vincent Van Gogh, composée avec des tubes collées sur la toile.

Après avoir tout vu ses œuvres, je me demandait s’il voulait sauvegarder l’objet de son époque comme des souvenirs du temps, en nous faisant méditer sur le temps.

lundi 8 novembre 2010

"Made in Chicago" Photographies de la collection Bank of America Merrill Lynch

Lieu :
Mona Bismarck Foundation
34 , Avenue de New York 
75016 Paris
Métro L9 Alma-Marceau ou Iéna/Bus 72

Exposition
Du 10 Septembre au 6 Novembre 2010
Elle est terminée. J'y suis allée hier le dernier jour.
Après, je pense qu'il y a régulièrement des expos dans ce centre. 


Débutons par le commencement: 
En 1937,László Moholy-Nagy, immigré hongrois, débarque à Chicago et fonde la New Bauhaus/American School of Design. En 1944, cet école est définitivement rebaptisée Institute of Design.
"C'est l'une des premières universités à envisager la photographie en tant que discipline et à l'enseigner comme une forme d'art". L'institute of Design va se créer dans d'autres villes comme New York et San Fransisco.

En 1967, Beaumont Newhall (premier grand conservateur d'expositions photographique américain) a été chargé de créer une collection d'entreprise à Chicago pour un mécène. Newhall réussi à acquérir énormément d'oeuvres de l'Institute of Design de Chicago. Dès ce moment là, un engouement autour de l'institute of design de Chicago naît et d'autres conservateurs se lancent dans cette entreprise.

En Octobre 2007, la Bank of America Merrill Lynch réussit à acquérir cette collection de photographies. 


 
"Made in Chicago" compte à peu près 90 photographies de 48 artistes aux États-Unis.
On retrouve une petite parcelle de cette exposition ici à Paris.
L'équivalent d'une vingtaine de photos, même moins.
Des photos très belles, très surprenantes.


Yasuhiro Ishimoto, Untitled, 1949-50, épreuve gélatino-argentique, 20,9 x 20,3 cm © Yasuhiro Ishimoto.
Nathan Lerner, Light Volume, 1937, épreuve gélatino-argentique, 28.9 x 40.3 cm © Kiyoko Lerner/adag

Jonas Dovydenas, Iron Worker, Chicago, 1969, gelatin silver print © Jonas Dovydenas, Bank of America LaSalle Collection.

Art Sinsabaugh, Chi. La. #214, Gelatin silver print, 29.5 x 49.2 cm
© Elisabeth Sinsabaugh de la Cova and Katherine Anne Sinsabaugh
Art Sinsabaugh, Chi. La. #23, 1964, épreuve gélatino-argentique, 13,3 x 49,2 cm © Elisabeth Sinsabaugh de la Cova & Katherine Anne Sinsabaughp, 2010

Cecil McDonald Jr., Frances Before Dinner, 2005, tirage jet d’encre, 78,7 x 104,1 cm © Cecil McDonald Jr. Courtesy Catherine Edelman Gallery

Certaines de ces photos représentent la ville de Chicago, Boston, et d'autres de 1937 à 2007.
D'autres des fleurs éparpillées sur une table, un œil, un genre de tableau avec des nuances de bleu, des bars de la ville, des voitures, des immeubles, des danses, des regards, des photos travaillées avec d'autres images photos....
Quelques photos m'ont marqué(touchante, vive, un intérêt, etc...) comme certaines m'ont déplu( pas d'émotions, sans intérêt...)
Une qui m'a plu : c'est une photo très banale d'une voiture, une vieille voiture avec l'image en arrière plan d'un ancien "cleaner" plus moins dévasté. (Yasuhiro Ishimoto, Untitled, 1949-50, épreuve gélatino-argentique, 20,9x20,3cm). 
Celle qui m'a déplu : par exemple, c'est celle avec ces fleurs qui s'éparpillent partout sur une table. 

Dommage que l'expo soit terminée, j'ai été averti à la dernière minute.
Mais ce n'était pas décevant, malgré les quelques photos que je ne comprenais pas.

Source des photos/Images sur ce com : http://www.photo.fr/tags/expo/
 
 
 



























vendredi 5 novembre 2010

« La traversée imprévue – adénocarcinome » d’Estelle LAGARDE


Pour mon plus grand enchantement, le mois de la photo a débuté il y quelques jours et, comme lors de beaucoup de festivals photo, le « off » est de la partie.

Pour honorer toutes ces festivités, me voilà donc partie pour arpenter les rues du Marais à la recherche de la galerie Dialogos où se tenait hier soir le vernissage de l’exposition « La traversée imprévue – adénocarcinome » d’Estelle LAGARDE.


L’exposition se présentant dans deux salles différentes (à deux étages différents), je vais décrire en deux parties différentes cette exposition.

J’entre donc dans la galerie. Première pièce. Exigüe, froide et très bruyante du fait de l’entassement des convives. Premier ressenti : je ne vais pas rester très longtemps. Claustrophobe et un peu agoraphobe (et même ochlophobe mais ça ...), ce lieu m’étouffe. Je tente de faire abstraction et j’observe.
A ma gauche, des autoportraits noir et blanc grand format. A ma droite, trois images couleur dont une accompagnée d’un petit texte qui semble sorti d’un journal intime. C’est le cas. Celui de la photographe. Cette exposition est en fait associée à un livre qu’elle a écrit et dans lequel elle retranscrit dix mois de sa vie sous forme de journal intime, depuis l’annonce d’un cancer du sein à sa guérison.

Je décide de continuer ma progression en empruntant le tout petit escalier qui mène à l’étage en dessous. Une salle identique à la précédente se présente : tout aussi exigüe et tout aussi bruyante.
Ici, la majorité des images sont des autoportraits noir et blanc, grand format toujours mais c’est à leur tour d’être accompagnés des suites de ce journal intime. Seule une image en couleur trône au milieu.

Le tour est vite fait.

Les photographies couleur sont bien différentes des noir et blanc. Toute l’exposition est constituée d’autoportraits mais à la différence des noir et blanc qui sont frontaux, très nets et visiblement faits en intérieur, les images en couleur nous donnent à voir une Estelle LAGARDE floue, en extérieur, avec des éclairages très surprenants. Elles représentent une sorte de spectre d’Estelle LAGARDE (la photographe n’est d’ailleurs pas franchement reconnaissable et se dédouble).
Contraste donc entre deux procédés (noir et blanc/couleur), deux formats (couleurs horizontales/noir et blanc verticales), deux techniques (studio, éclairage frontal, netteté/extérieur, éclairage plus subtil, poses longues).

Estelle LAGARDE a décidé grâce à ces images et ces textes de faire face au cancer du sein qui la rongeait. Jeune, belle et artiste reconnue, elle mêle grâce, sensibilité, courage, amour et même humour et ce que je considère comme étant de l’autodérision. Et c’est tout ça que l’on ressent lorsqu’on regarde ses images.
Je n’ai pas lu le livre, je n’ai lu que les cartons qui accompagnaient les photographies (je ne suis pas très adepte des titres ou légendes accompagnant des œuvres qu’elles quelles soient mais puisque le travail est photographique et littéraire à la fois, je m’y penche entièrement) mais l’ouvrage complet est cependant à la disposition des « récepteurs » que nous sommes afin, peut-être, de mieux comprendre (bien qu’il ne soit à mon avis pas nécessaire de s’y plonger pour comprendre ...)

28 photographies, une dizaine d’extraits de textes, des tirages superbes, simples, juste encadrés, sans verres : l’exutoire et les réponses à un questionnement face à la maladie. Une Estelle LAGARDE intime et sans fard.
En espérant pour vous qu’il y ai moins de monde que lors du vernissage, mais ça tombe bien : c’était hier.










Où ?
Galerie DIALOGOS
1 place de Thorigny
75003 PARIS

Quand ?
du 02 novembre au 04 décembre 2010
du mardi au samedi de 14h à 19h
     (signature jeudi 25 novembre à partir de 18h30)          

Plus d'infos :


mardi 2 novembre 2010

"Un architecte pour un Empire" Charles Garnier

Pour aller voir l'expo :
Beaux-arts de Paris l'école nationale supérieure
Galeries d'expositions
13 Quai Malaquais
75006 Paris
Métro L4 Saint-germain-des-près.


Les dates
Du 26 Octobre 2010 au 9 Janvier 2011.


Présente au vernissage le Lundi 25 Octobre 2010!
Tout d'abord, le lieu de l'exposition est gigantesque.
Dès l'entrée un haut plafond, de l'espace, de la lumière!

Ensuite, ce qui me paraissait à la fois sympathique et délicat, c'était ces phrases de Charles Garnier écrites un peu partout sur les murs.
Des phrases très intéressantes mais parfois on s'égare avec le reste de l'expo...

On rentre, à notre gauche, un petit espace assez sombre, où des projections d'extraits de films (se passant à l'Opéra Garnier) sont diffusées sur chaque mur en boucle....
Assez captivant, et insolite.

Ensuite, une petite marche qui nous mène à une grande salle aux murs vert, et où sont disposées des vitrines!
 Dedans, les dessins, les maquettes, les outils, les lettres, etc....de Charles Garnier.
Il y a aussi quelques caricatures de l'artiste fait par d'autres artistes.

Au niveau de la scénographie de la salle, c'est une invitation à l'atelier de Charles Garnier.
Nous avons l'impression de rentrer dans son atelier. Des crayons à papier sont dispersés un peu partout sur ces grandes vitrines, sur ces tables ; de plus des rouleaux de papier enroulés comme des parchemins sont déposés sur la dernière table, avant de passer à une autre salle. A ceci s'ajoute, des lampes de bureaux, comme un espace de travail!

Une autre salle, où des tableaux, dessins en grand format sont accrochés cette fois-ci sur les murs, avec la présence des phrases à Charles Garnier. Sorte de couloir, avec beaucoup d'espaces, et du temps pour observer.

Des escaliers nous mènent à l'étage...Entre ces escaliers, une phrase de Charles Garnier nous attire : "Il n'y a pas à choisir entre les arts : il faut être Dieu ou architecte". Ensuite, tout cet étage est dédié à l'œuvre titanesque de l'Opéra Garnier!

Une musique se fait entendre (des chants d'Opéra), des maquettes sont visibles, des dessins, des croquis, des esquisses, des plans, des tableaux et d'autres représentations sont présentes dans cette immense salle.

Une belle expo, à voir et à revoir!!!!

J'aime beaucoup l'Opéra Garnier, je suis très admirative lorsque je passe devant cet Opéra.
C'est une belle œuvre, avec un travail très élaboré, très minutieux, très développé, et beaucoup de détails.

Cet artiste me plaît, car il travaille sur un matériel que j'apprécie qui est la mosaïque.
Il utilise d'autres matériaux qui sont très présents dans cet Opéra, dont le marbre.

Charles Garnier a fait plusieurs voyages dans le sud, dont la Grèce, l'Italie, l'Espagne, la Turquie, et d'autres pays méditerranéens afin de s'inspirer pour la réalisation de ses créations.



































 
 

lundi 1 novembre 2010

GRAND MARCHE D'ART CONTEMPORAIN

lieu: PLACE de la BASTILLE paris
       Metro BASTILLE
          du 28 octobre au 1er novembre 2010

Je suis allée voir cette exposition le 28 octobre, malheureusement un peu de deception. Parce que je m'attendais quand même des nouvelles choses à voir. mais il n'y a pas eu de grand changement des oeuvres par rapport à l'année dernière. cela était moins bien que avant.

A mon avis, ce marché est très commercial. J'ai trouvé beaucoup de travaux qui étaient les même de l'an dernier. On dirait que ils sont pas très contemporains malgrés le nom de l'exposition.
Si vous voulez, vous allez voir pleine de peinture et sculpture, un peu de Photo, mais pas de vidéo, pas de documentaire.

 Peut-etre je n'y reviendrai pas l'anée prochaine.

Pourtant, j'étais contente d'avoir vu nouvelle truc interessant  comme celui de THEO MERCIER,  à la FIAC, aussi d'avoir trouvé  des novelles présentations des pays, comme la Corée du Sud et Mexique.

je n'ai pas pris de photo. je voudrai simplement vous informer sur cette exposition.