mercredi 20 avril 2011

My Way -JEAN-MICHEL OTHONIEL


My  Way
JEAN-MICHEL  OTHONIEL
2 MARS-23MAI 2011

   Au Centre Pompidou a organisé cette fois une rétrospective de Jean-Michel Othoniel. il y a quatre-vingts œuvres de 1986 à aujourd'hui, un film de Brigitte Cornand consacré à Jean-Michel Othoniel et un CD-Rom. L'exposition se compose chronologiquement de neuf espaces distincts.
Le titre de l'exposition provient d'une chanson de Frank Sinatra, qui m'a fait penser de son chemin artistique, solitaire, avec la passion. Parce que nous, la majorité des artistes sauf le cas particulier, on fait ce chemin en se demandant très souvent si on doit le continuer sans pouvoir savoir le résultat, car personne n'a envie de s'y consacrer pour rien.
Malgré toutes les craintes, un seul catalyseur très puissant qui nous y conduit sans cesse est la passion comme un fort désir incontournable, fantomatique. Cela peut être une source de la vie chez artiste. Sans cela, on se fane comme des végétaux. Au moins, c'est ainsi dans mon cas.    
 
Bref, revenons à nos mouton! En fait, Jean-Michel Othoniel est un artiste vagabond, qui fait plein  de œuvres après voyages et rencontres. J'ai vu certaines œuvres en petite dimension, surtout les photos dans les année 1986-1988, ses débuts. Il a nommé «INSUCCES» pour ce premier espace. Parce que pour lui, ce sont des échecs d'une technique et d'expérience. Mais, il lui a inspiré des charmes de l'informe et l'innommable. Ici, il montre honnêtement ses recherches artistiques inexpérimentées.
Avec le temps qui passe, il développe ses œuvres plus monumental, gigantesque en employant différents matériaux. Par exemple, photographie, soufre, cire, verre... Ce qui m'a touché, c'est ce qu'Il présente le verre cicatrisé. D'abord, il blesse volontairement le matériau. Il provoque des accidents cicatrisés aux boules de verre en fusion. Ensuite, il crée une réconciliation à partir de cette cicatrice.



                          Le bateau de Larmes, bateau, verre de Murano, métal, 345x535x215cm, 2004

Ses œuvres se développe plus vers l'univers féérique et l'aspect décoratif, mais en gardant la conscience du monde réel. Par exemple Le bateau de Larmes
Il élabore une «Physique de la poésie» depuis ces dernières années. Des formes géométriques linéaires, des expressions matérielles de l'immatériel sont imaginaire, symbolique et réel Le double Nœud de Lacan,2011


Si vous voulez vous mettre dans son univers féerique, surtout avec plein de boule de verre, Allez-y les voir! vous pouvez vous mirer dans les boules de verre comme moi.

mercredi 13 avril 2011

François Morellet, réinstallations


François Morellet, réinstallations
EXPOSITIONS AU CENTRE POMPIDOU
2 mars - 4 juillet 2011 



François Morellet est un artiste contemporain français qui est né en 1926. Cette exposition  était intitulée “Réinstallation” parce que ces œuvres ont été effectué avec l’artiste lui-même pour former une rétrospective de 1963 jusqu’à aujourd’hui.
Cet espace d’exposition est comme un espace géométrique. Son œuvre au sein du courant de minimalisme,géométrie et l’abstraction. Et il se consacre les installations.
On peut bien voir ses œuvres étaient fondé sur formes simples,la ligne,la grille,le carré ou le rond sont les élément principale pour construire ses œuvres.
Quand je suis entrée dans cet exposition, j’ai vu sa première création,c’est de néon. Ses créations constituent en beaucoup sorte des éléments. Néon est une sorte des ses éléments qu’on peut voir souvent dans ses œuvres.Il constitue les changements et les transformation de forme par tubes de néon. Plupart de ses œuvres de néon sont les arts interactifs. Les visiteurs peuvent contrôler les transformations des tubes de néon par eux-même.


Et la série plus célèbre de ses réalisations est “Trames 30°-87°-93°-183°“. Il a présenté l’idée de“ géométree“. Ce un prolongement des tableaux des espaces et des formes. J’adore son l’idée de“ géométree“. Le titre des oeuvres sont parfois figuratifs,et c’est  aussi des jeux de mots cela montre un sens d’humour dans ses œuvres.

L’esprit de géométrie, c’est l’esprit principale de son création. Et cette exposition dans centre Pompidou montre tout à fait son esprit.Quand je visitais cette exposition, il me semblait dans un espace très propre et logique. j’ai suivi le parcours d’exposition comme chronologique et comme labyrinthe. Moins ou plus, François Morellet faisait le participation avec les spectacles, on est comme une partie de ses installation.

En bref et pour finir, François Morellet a rangé les éléments et les différencie
des oeuvres anciennes dans cette exposition,il a remontré l’esprit et des intégrations. Ce n’est pas ma première fois à voir son réalisation mais cette fois de visite me refait les connaissance avec
François Morellet.Ce sont des installations réactivées. 
Si vous voulez visiter, au centre pompidou jusqu’au 4 juillet.


LI,Wei-Ping 10271389,Arts plastiques

mardi 12 avril 2011

De l’immatériel Au tangible

                                                                               

   Je me permets d’écrire quelques mots ici après avoir assisté à une conférence de Xavier Boissarie, le 06 avril à ENSAD.

  Xavier Boissarie est un Praticien du numérique dans le champ des Arts appliqués. Il joue souvent avec l’espace circonscrit et maitrisable en 3D temps réel. Il a déjà réfléchi à une implication du corps dans l’expérience, par exemple l’avion et la modalité.  En ce sens –là, une relation de la posture et les mouvements sont très importants. Le fait de percevoir nous permet de corriger les erreurs et de pouvoir explorer une nouvelle commodité. En fait, il est très motivé dans l’espace artificiel en tant que designer des environnements 3D temps réel.


  Selon lui, le changement de la chaise dans les années 1925 jusqu’à aujourd’hui est lié à une réflexion numérique. Il a analysé deux univers antagonistes comme Espace numérique et Espace tangible. Il tente de bien les hybrider ces deux univers contraires pour qu’il puisse rendre plus de confort à utilisateur. Il s’intéresse aussi aux jeux vidéo. Il met valeur sur une création et un déploiement d’espace circonscrit.


Il a dit que ‘Le fait de visualiser l’image est l’offert l’expérience radicalement diffèrent.’  C’est vrai que la visualisation l’image (par exemple les jeux vidéo) peut devenir une nouvelle expérience sans précédent, qui pourrait nous séduire, nous faire distraire l’attention réelle  en nous invitant à une réalité virtuelle.  Mais je me demande s’il n’y que des choses positives dans un univers virtuel aujourd’hui et si on gagne toujours sans perdre l’autre chose essentielle ? C’est  à considérer sous tous ses aspects.
  
                                     





                               

lundi 11 avril 2011

Le Cube - Centre de création numérique

Strange & Wonderful | ÉTRANGE & MERVEILLEUX: Exposition vidéo et illustrations




DATE : Du Mercredi 9 Février 2011 au Samedi 23 Juillet 2011
LIEU : Le Cube, 20 cours Saint-Vincent - 92130 Issy-les-Moulineaux
HORAIRE : De 12h-19h, nocturnes le mardi et le jeudi > 21h
PRIX : GRATUIT













Le Cube, centre de création numérique. Créé en 2001 à l’initiative de la Ville d’Issy-les-Moulineaux, Le Cube est un espace de la Communauté d’Agglomération Grand Paris Seine Ouest.


C’est ma première fois d’aller à ce centre de création numérique qui se trouve sur tramway T2 “Les Moulineaux. C’est pas justement une gallerie,aussi qu’il y des ateliers,des salles documentaire et vous pouvez solliciter les projets artistiques. D’ailleurs     il a lieu beaucoup d’activités artistiques ou les rencontre avec les artistes. 



L’exposition actuelle c’est Strange & Wonderful | ÉTRANGE & MERVEILLEUX. Sa gallerie est caché dans ce bâtiment où on doit monter un escalier trés étroit. C’est une exposition des illustrations et  des courts-métrages. C’est exposition montre les éléments “mignon” mais plus sombres, étranges et marrants. La conception de cette exposition est “hors monde” qui veut montrer un pays merveilleux et onirique. Cet espace était décoré en une espace étrange où explorent nos imagines et nos craintes.









Dés que j’entrais dans ce gallerie, j’ai vu un mur d’illustrations de Nicoletta Ceccoli mais je pouvais pas être sûre que ce sont les origines car elles ressemblent des fiches à imprimer.


J’aimais les courts-métrages qui étaient exposé là. Ils montrent angoisses,humours noirs ou même peurs.  Ce sont les créateurs des courts-métrages.

Rodrigo Blaas, « Alma » (USA, 2009, 5’)
Jérémy Clapin,
Skhizein
(France, 2008, 13’30”) C’est le métrage que je préfère.
Joanna Lurie, Le silence sous l’écorce (France, 2009, 12’)
Nadia Micault et Lorenzo Nanni,
Naïade
(France, 2008, 12’) Eb Hu, Josie’s Lalaland (UK, 2007, 4’)
Terri Timely,
Synesthesia
(USA, 2009, 4’) Andy Bruntel, Scissor (USA, 2010, 4’48”) Frédéric Sofiyana, All (in) One (France, 2010, 1'25'') Frédéric Sofiyana, The words (France, 2010, 3'06'')

Si vous vous intéressez y aller, c'est un lieu calme et qui organise souvent les réunion ou les activité artistiques.
Voilà,c'est le site de LE CUBE;http://www.lecube.com/.


LI,Wei-Ping 10271389, Arts plastiques 







Basquiat au Musée d'art moderne

Basquiat au Musée d'art moderne
du 15 octobre 2010 au 30 janvier 2011

C'est la première fois qu'à Paris une grande exposition est consacrée à Jean-Michel Basquiat, artiste d'origine portoricaine et haïtienne, né en 1960 à Brooklyn et mort en 1988 d'une overdose. Dans ses œuvres présentent des cultures, il n’est jamais allé Haïti mais sa racine  apparaît sur ses œuvres. Il mélange des publicité et des médias,de la musique afro-américaine et l'affirmation de sa négritude.
Basquiat est un artiste que j’aimais beaucoup depuis j’étais étudiante à Taïwan donc c’est fois qu’une chance de le visiter à Paris. Cet exposition comprenait tout les œuvres dans sa vie qui était organisé par chronologie. Et il y avait plein de œuvres qui n’étaient jamais exposé au publique. Sans aucun doute, c’était une rétrospective de Baquiat,l’exposition a réunit tous ses toiles,dessins et photos.
L'exposition cherche à démontrer non seulement que Basquiat a été un personnage important  dans les années 80, mais aussi que ses réalisations artistiques ont une importance pour l'art du 20e siècle. 

Dès  que je suis entrée dedans, j’ai vu que ce un monde trés coloré. Dans première partie d’exposition,c’était la période qu’il faisait les peintures sur les toiles présentant les charpentes osseuses,les visages ces sont les plus souvent élément dans cette période. Il représentait autres éléments de sa vie aussi: voitures,bâtiments et graffitis. Ses œuvres restent empreinte des graffitis de ses débuts, où il mélange couleurs vives et textes à thèmes. C’est dommage que je suis allée au dernièr jour d’exposition,il y avait trop de monde même si le musée d’art moderne contrôlait visiteurs limite. On ne voyait pas trés bien les détails des  œuvres.


Et puis la prochaine période;il utilisait toutes matières:sur panneaux et la rencontre avec Andy Warhol. Andy Warhol est un grand artiste américain du pop art et qui a une solide amitié avec Basquiat. Ses co-créations  représentent nouvel esprit de l’art.
Sa mort prématurée en 1988,ses oeuvres substantiels s' imprégnent  par morte. Pour finir, c’est vraiment une exposition merveilleuse, on voit toutes les œuvres d’arts de Basquiat qui étaient collectées de tout le monde. On peut bien comprendre la vie et l’esprit de Basquiat , un de grand artistes contemporain du monde.

Même si cette exposition est déjà fini,mais ça me donne étonnants et c'était digne d'y aller.








LI, Wei-Ping,10271389, arts plastiques

mercredi 6 avril 2011

V’là aut’chose !

Du 24 mars au 23 mai 2011
                            La Verrière   Exposition
     Leroy Merlin Quai d’Ivry   ouverte
      2-12 rue François Mitterrand     du lundi au dimanche
                             Ivry-sur-Seine     de 9 h à 20 h

"V'là aut' chose !..." Philippe GABEL (Photographie), Octave DEBARY (Réflexions anthropologiques)

    Mardi le 05 avril, je suis allée acheter un cadre de ma peinture à Leroy Merlin Quai d’ivry. Et puis j’ai vu par hasard une exposition intéressante de Photo. La manière dont ils s’exposent dans tous les côté de mur, un peu partout, a l’air assez insolite. Il y a plusieurs formats  en regroupant quatre secteurs dans un grand hall d’entrée.

Le premier coup que j’ai eu, c’est ce que toutes les photos sont en noir et blanc et les images de personnages.  On dirait ‘Des portraits avec des objets sur eux’. Alors je me suis dit que l’artiste travaille sur les histoires entre l’être humain et l’objet, surtout dans la vie banal sans aucun superflu.  Heureusement le thème n’était pas très loin de cela. Vous allez voir aussi sans difficulté.

Mais ce qui est vraiment intéressant comme sa préoccupation personnelle, ce n’est pas seulement ce qu’il focalise son attention sur une simple histoire d’amitié entre la personne et l’objet. Mais il nous montre aussi la joie de s’approprier autant de souvenirs disparus que de mémoires à venir. L’artiste tente de montrer que ces objets ont une valeur qui repose sur leur pouvoir de consigner une histoire : une histoire transmise entre les gens par le biais d’un échange marchand. La reprise des objets, leur changement de main, leur assurant un nouvel avenir, souvent comme objets de souvenir.      

 
500 × 754


                                                                        800 × 1086


                                                                       500 × 667

  Pour eux, les vide-greniers sont devenus des musées de plein air ou se bricolent des mémoires faites d’objets usagés. Je trouve cela, c’est un travail très humaniste. Je vois les excitations de chineurs qui tiennent en main leur trouvaille avec un sourire  devant les photos, et les objets qui ont enfin rencontré les nouveaux usagers avec qui ils vont tricoter une nouvelle histoire de rencontre. Peut-être, il y a un peu d’inquiétude chez objets. Parce que le repreneur n’est pas toujours bon usager d’objet avec tant de tendresse. C’est pour cela que l’artiste nous laisse deviner le plaisir éphémère du chineur et son regard pétillant à la découverte de l’objet de son désir.

Après cette visite, j’ai regardé mes objets chez moi. Ils sont un peu partout dans tous les sens, silencieux, familiers, avec tant de mémoire. Ils ont été toujours là. Ils sont encore là pour moi, sans m’insister de les servir. Je ne sers plus depuis longtemps certains entre eux. Peu importance de leurs existences. Du coup, j’ai eu un peu de culpabilité, de pitié d’eux.  Une courte réflexion me suit…    

Oui! cet ouvrage disponible en librairie. le prix est 19euros.