samedi 11 juin 2011

FILMS DE BRICE DELLSPERGER

FILMS DE BRICE DELLSPERGER
« Body Double »
Depuis 1995, Brice Dellsperger réalise des films regroupés sous le titre de Body Double, numérotés selon l'enchaînement de
leur réalisation. Pouvant durer de quelques minutes à 1h45, ils ont tous pour principe de réinterpréter des scènes de films
célèbres, à commencer par Brian de Palma (à qui l'artiste a emprunté le titre générique), en passant par Kubrick, Gus Van Sant,
Zulawski ou David Lynch. Toutes les séquences sont choisies en fonction des tensions qu'elles révèlent : agressions, meurtres,
voyeurisme, filatures, sexe, amour, inceste ... Les acteurs sont non professionnels. Tous sont travestis et véritablement
«portés » par leurs rôles grâce à des jeux délibérément outranciers dont l'objectif est de perturber les codes du cinéma. Audelà
de la référence au cinéma réflexif de De Palma, Body Double signifie à la fois doublure et corps dédoublé, transgenre,
ambiguité sexuelle, double identité et personnalité mouvante. Du coup, les films de Dellsperger se présentent comme des
échappées hallucinatoires, chaotiques et délirantes à la fois. La dimension de la performance est évidente, tant le corps,
l'action et la parole sont étroitement liés. L'artiste considère d'ailleurs ses oeuvres comme des performances dont il construit
la mise en scène avec la plus grande attention possible.

Tu préfères être un monstre visible ? Moi, j’ai tout dehors. Par rapport aux gens en costume cravate, jupe-culotte, machin, qui étaient vraiment des monstres. Quand j’ai découvert les punks, je me suis dit ces gens-là sont beaux, ce sont des fleurs bizarres dans la rue. Ils font peur parce qu’ils sont tellement beaux. Je pense que c’est par là qu’il faut aller pour inventer sa vie et surtout ne pas refaire ce schéma pourri de gens avides de réussite, ces gens d’une droite dure, prêts à tout pour se tailler un chemin à coups de serpe dans la société et qui finalement ont tous échoué lamentablement. Ma mère a une vieillesse atroce – pas assez à mon avis – genre, avec des aides sociales. Elle est aigrie, obèse, malheureuse, cimentée dans sa haine et son dépit, parfaite. J’ai mis du temps à avoir du plaisir. Mais quel plaisir de voir ces gens se casser la gueule dans l’humiliation ! Parce que si c’était secret ça serait encore trop beau. Non, ce qui est bien c’est que ça se voit.



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Moi je suis pédé, je suis pas gay. Quand tu es gay tu es mince, tu as l’air jeune, tu as les carrés de chocolat, le muscle, le pouvoir d’achat, la bonne marque, la bonne coupe, les bonnes chaussures. C’est juste « non », impossible. Et le SNEG – le Syndicat national des entreprises gaies – est une entreprise de démolition de la sexualité. Pourquoi ? Parce qu’avant il y avait les jardins publics, les pissotières et, en dernier recours, la rue. Maintenant quand tu veux baiser, tu vas dans des baisoirs, tu payes, tu consommes tout. Les mecs ils consomment gay. Ils s’habillent gay, ils parlent gay et ils vivent gay entre eux. Ils veulent juste faire comme les hétéros en moins bien, en moins efficace, et ils copient exactement une population qui les a ostracisés jusqu’à ce qu’ils deviennent légaux en 1980. Genre c’est non, c’est impossible, et quand une grande folasse comme moi, bien traditionnelle, traverse en plein jour la rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, le cœur du cœur du Marais de Paris, et que j’ai le cuir, le cockring avec genre le paquet comme ça, genre « vous avez vu Messieurs, j’ai amené la viande » et que j’ai des faux cils, les mecs disjonctent. Parce qu’il font « cuir, humm… paquet… hummm » et puis « faux cils ? Noooon !!!! » Ils ont oublié qu’ils ont inventé le cross-­dressing. Aujourd’hui les gays dans la rue ont l’air de métrosexuels.



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C’était quoi l’idée des Body Double ?Pour le 22, c’est de refaire Eyes Wide Shut, une version un peu kaléidoscopée, pas dans la linéarité. Je suis tous les acteurs et les actrices, en travesti. Et les mouvements de caméra, le jeu, tout est copié sur l’original. Sauf que c’est moi qui suis à l’image et que ce n’est qu’une seule personne diffractée en plusieurs qui fait d’un dialogue un monologue. Donc la vision analytique du film est complètement chamboulée. Visuellement c’est encore plus zarbi parce qu’il y a pas mal de technologie, donc même quand on refait L’Important c’est d’aimer [ndlr : dans Body Double X], on change beaucoup de choses par rapport au Zulawski. Ça me permet de développer mon jeu même si ce n’est pas vraiment un jeu d’acteur mais plus de mime, puisque je suis en lip sync. Et ça me permet aussi de jouer à la poupée avec moi-même, puisque je me fais mes propres coiffures, mes maquillages. Je suis plus qu’un acteur et je suis moins qu’un auteur.

vendredi 10 juin 2011

Maria LOBODA à la Galerie Schleicher+Lange

 http://www.galerieschleicherlange.com


A l'exposition de Maria LOBODA, on trouve quelques arbres suspendus du plafond au fond de la galerie. Il n'y a pas de fleur, ni beauté à leur forme. Ils attendent de se flétrir avec de petites éponges aux bouts de chaque arbre.

Cette œuvre s'appelle Ah Wildness est fait avec du cèdre, du pin, du bouleau, du noyer. Selon l'explication, « s'ils se retrouvaient ensemble dans la nature, ces trois (quatre?) espèces se détruiraient ». Mais ce n'était pas l'explication ou le concept de cette œuvre qui m'a attiré, mais c'était son existence objective sans « beauté ». La beauté dans le sens banal, celui de la forme organique d'arbre ou de la couleur vivante, etc. En plus cette existence n'est même pas durable. Un autre jour, à la même galerie, j'ai vu du gros béton parterre qui ne forme rien (moitié cassé?). Je ne sais plus son auteur ni son titre mais je me souviens de son aspect et de l'impact que ça m'a donné. Leur existence objective était simple et dynamique. Cete simplicité et ce dynamisme étaient beau.

On sais bien littéralement que l'œuvre d'art n'a pas besoins d'être belle. En plus on ne sait pas exactement ce qu' est la beauté. Mais, devant d'Ah Wildness, j'ai senti où se trouve mon concept de la beauté.


Dynamite Winter / Maria LOBODA
à la Galerie Schleicher+Lange
12, rue de Picardie 75003 Paris

du 7 mai 2011 au 18 juin 2011

« Extra-art Thomasson » de Genpei AKASEGAWA





はっきりと申し上げます。これは、
「超芸術!」
というものであります。芸術は芸術家が芸術だと思って作るものですが、この超芸術というものは、芸術家が、芸術だとも何とも知らずに無意識で作るものであります。だから超芸術にはアシスタントはいても作者はいない。ただそこに超芸術を発見するものだけがいるのです。

『超芸術トマソン』筑摩書房、1987年


J'ai quelque chose à vous dire exactement. C'est une certain chose « Extra-art »! L'art est fait par un artiste en voyant que c'est un art. Mais cet « Extra-art » est fait par un artiste inconsciemment sans connaître ni l'art ni rien. C'est pour ça, dans « Extra-art », il n'y a pas d'auteur que son assistant. Il y a uniquement quelqu'un qui trouve l' « Extra-art ». — Genpei AKASEGAWA

« Extra-art Thomasson », Chikumabunko, Tokyo, Japon, 1987, p25

AKASEGAWA est un artiste et écrivain japonais. Un des membres de groupe High Red Center de Fluxus des années 60. Dans « Extra-art Thomasson », il définit et présente des exemples d'extra-art avec beaucoup d'humour.

Il dit que dans la ville, on trouve parfois des objets inutiles attachés aux bâtiments. On ne sait pas par qui c'est fait, ni pourquoi. Mais c'est très bien gardé par quelqu'un, pour rien. Normalement, on ne laisse pas les choses inutiles sans fonction effective occuper du terrain (qui est assez utile) dans un monde capitaliste. Il a trouvé que ces objet sont de « l'art » sans auteur et l' a défini « Extra-art » en donnant le nom Thomasson, d'après joueur de baseball invité au Japon des Etas-Unis avec un salaire énorme mais ne peuvent jamais battre la balle. Il organisait des visites de groupe à la découverte des Thomassons dans la ville, et également fait appel de photos de Thomasson. Ce livre est une compilation de ces découvertes.

Grâce à la finesse et l'acuité de son intuition, son coup d'œil sur le système du monde et l'art, et son sens de l'humour et de la littérature, ce livre est très intéressant. Dommage que son sens de littérature très japonais l'empêche d'être traduit. En français je n'ai trouvé qu'une petite présentation de l'activité d'AKASEGAWA dans « 1910 JAPON DES AVANT GARDES 1970 » (Editions du Centre Pompidou, Paris, 1986).

Anish Kapoor


Ma première rencontre avec ses œuvres a eu lieu en 2009 à Royal Academy of Art. Pendant des années, je ne peux pas oublier son exposition et les sentiment que j’ai senti. Un canon itinérant projetant de gros paquets de cire rouge qui dégouline ensuite sur les murs, les tour en ciment qui évoquent la déjection, des cire rouges en bouillie sur la mur...en regardant ses œuvres, j’ai saisi que la relation entre la beauté et le laid n’est pas l’ironie dans le monde de l’art, il est proche la polysémie. Seulement il y avait le sentiment d’existence que J'ai perdu un moment mes esprits. Peut-être c’est ce que le sublime.




Depuis des mois, j’avait attendu son expo et la semain dernier j’ai pu rencontre la grand minimalism à la Nef du Grand Palais.
Au début, après avoir passé la porte tournante, j’étais totalement choquée, puisque l’ambience de cet salle était très fantastique et chaude. Cet salle rouge me rappellait l’utérus. Dans ce lieu, je me sentais l'âme pieuse comme j’étais très petite. C’était une expérience poétique, méditative. Il crée l'atmosphère mythique et mélancolie.

Né en 1954, Anish Kapoor produit depuis les années 80 une œuvre à la fois méditative et puissante. Souvent épurées, toujours d’une grande force, ses installations-sculptures captent de manière vertigineuse l’attention du visiteur. Miroir poli, poudres de pigment, béton brut ou cire grasse, les matériaux utilisés par l’artiste sont au service d’un jeu de formes à la fois organique et minimaliste. 



Entretien vidéo avec Anish Kapoor au moment de l’inauguration de son exposition pour la Monumenta 2011

ANISH KAPOOR - LEVIATHAN


MONUMENTA 2011
Grand Palais du 11/05 au 23/06 2011

Anish Kapoor – Leviathan

Pas plus tard qu'hier, j'ai visité une exposition de l'artiste indien Anish Kapoor au Grand Palais. Cette expérience était vraiment magnifique.
Le bel espace de 19 siècle, invite chaque année MONUMENTA (un rendez-vous annuel), un artiste
d´envergure internationale à investir les 13500 m² et les 35 mètres de hauteur de la Nef du Grand Palais, avec une oeuvre créé spécialement pour cet espace. Pour sa quatrième édition, après des artistes invités Anselm Kiefer, Richard Serra et Christian Boltanski, il a été le tour de Anish Kapoor pour répondre à cette défi avec une toute nouvelle œuvre.

Anish Kapoor, l´un des artistes majeurs de sa génération est revenu à Paris après 30 ans de sa première exposition. Il est né à bombay en 1954 et il est installé à Londres depuis le début des années 1970. Pièces Kapoor sont souvent simples, des formes courbes, généralement monochrome et couleurs vives. Ses œuvres ultérieures sont faites de solides, pierre de taille, dont beaucoup ont sculpté des ouvertures et des cavités, souvent allusion, et de jouer avec, dualités (terre-ciel, matière-esprit, légèreté-obscurité, visible-invisible, conscient-inconscient, hommes-femmes et le corps-esprit). Ses œuvres les plus récentes sont comme un miroir, reflétant ou de fausser le spectateur et ses environs.

L´oeuvre qu´il présente à Monumenta il décrit comme :“ Un seul objet, une seule forme, une seule couleur“. Dans l'élaboration de ce travail utilisé Anish Kapoor trois points principaux dans son concept. La couleur et monochrome, le corps originaire et la peu de l´objet. Ce «quelque chose» est vraiment comme des objets inorganiques d'une autre planète, nous sommes constamment vanté son attention et nous fascinent par leur taille, la forme et la couleur. Dans l'élaboration de ce travail utilisé Anish Kapoor trois points principaux dans son concept. La couleur et monochrome, le corps originaire et la peu de l´objet. Les visiteurs peuvent également entrer dans l'œuvre elle-même, à un autre monde où le temps s'est arrêté et un homme ne voit que la couleur et la complexité de l'objet.

Cette exposition est la première pour laquelle j'ai passé plus d'une heure à regarder une œuvre unique. Et je n'étais certainement pas le seul. Interprète brillante Anish Kapoor qui est capable de parler un langage universel que les gens puissent au moins approximative pour le moment.



























Conférence d' Antoine PERROT

http://www.antoineperrot.net/ 



   Pour P. Greenberg les objet sont dématérialisés dans l'art conceptuel. Ce qui m'intéresse dans ces œuvres d'Antoine PERROT, c'est un échange entre l'objet d'art dématérialisé et l'objet quotidien. Il crée ses œuvres avec des articles tout fait et met dans la galerie comme objet artistique. Il y a déjà une transformation. En plus, ces œuvres sont faites pour ramener hors de la galerie. On y voit un double jeu dans son concept d'œuvre « Peinture porte-bonheur ».


   J'ai réfléchi comment on peut appeler l'objet « artistique » pour porter hors de la galerie ou qui n'a pas le droit d'entrer dans une galerie, un musée ou sur des étagères de décoration? Cet objet sera fait par une passion environnante, comme le Palais idéale du facteur Cheval. Dans son cas, son objet est fait comme un palais. Et Antoine PERROT appelle son œuvre « Peinture porte-bonheur ». Et c' est bien une « peinture » et comme un « porte-bonheur ». Mais si elle n'avait pas la forme d'un palais ou du porte-bonheur, malgré tout ils sont bien faits et bien étonnants ou intelligents? Est-ce possible? Il me semble que c'est possible, parce qu'on ne pourra pas comprendre que l'objet d'Antoine PERROT est une peinture, ni un porte-bonheur sans le titre ou l'explication. Le rapport entre son objet et son nom est assez faible. Comment peut-on appeler cet objet qui n'a pas de fonction effective en dehors du champs « artistique »?


    Je n'ai pas encore tout à fait trouvé de nom ou d'exemplaire pour cet objet. Sinon, je trouve que la tombe s'en rapproche. Elle a sa fonction effective dans le social mais faiblement. On ne peut pas porter notre tombe pour montrer aux gens notre goût ou notre richesse comme objets décoratifs physiques. Dirons nous « ma tombe » au lieu de « mon œuvre »?

LA PEINTURE ?

"Une peinture de chevalet est une peinture de chevet, qui n'habille que les rêves bougeois."                              Antoine Perrot, Carnets, 1997

"Non, la peinture n'est pas faite pour décorer les appartements, C'est un instrument de guerre offensive et défensive contre l'ennemi."                                                    Pablo Picasso

"La peinture, dit ma voisine, ça défatigue."                      Georges Perros, papiers collés

Notion d'artiste — Marlene DUMAS

"At my art school, I remember, my professor told me, 'You are a born painter'. I replied that I considered painting old-fashioned. All the smart artists were doing other kind of work, so I wanted to do something else, but he said, 'My poor girl, what else could you do?' In Holland, I will never be accepted as  proper Duch person because I can't ride a bicycle, or swim, and I don't have any hobbies. In that sense I enjoy seeing art as a form of play — you can play, you can lie, you can do all kinds of things." — Marlene DUMAS


"Barbara BLOOM in conversation with Marlene DUMAS", Marlene Dumas, Phaidon, London, 1999, p15

jeudi 9 juin 2011

Une citation de Marina Abramovic' sur l'être un artiste "engagé"

« Je n'ai jamais pensé que l'art doive réagir face à l'actualité. La démarche artistique appréhende la société de manier plus globale. L'artiste doit longuement l'observer. Il est un grand observateur des faits, des systèmes des actes humaines..

Matisse a peinte des fleures pendant la deuxième guerre mondial. C'est sa manière à lui de s'être engagé. Et je pense sincèrement ce là. L'artiste est un enfant curieux. Il ne doit pas, selon moi, être dons une attitude d'arrogance. C'est une réaction trop directe. »


 
de une interiew avec Marina Abramovic' en 2001

L'artiste selon Robert Filliou

« Un génie sans talent » se proclame Robert Filliou, « tous les hommes et toutes les femmes sont porteurs d'un génie que l'exercice de leurs talents les empêche de révéler et de développer » . Cette formule, énoncée en 1970 en forme de boutade, dénote une pratique privilégiant le comportement artistique à l'objet d'art, celle d'un artiste qui au mot « art » préfère celui de « créativité »: l’homme donne libre cours à son envie d’être, de créer donc, et peu importe le résultat, qui n’est que témoignage, anecdote. L’important est l’action, le faire, toujours en état d’inachèvement, et donc de recommencement.

Selon Filliou donc le génie émancipe et le talent castre : l’un fait appel à, « l’innocence » et « l’imagination », deux qualités clés, car elles permettent toutes les formes de vagabondage dans des territoires vierges. L’autre enrégimente, soumet l’artiste à des préoccupations frustrantes et non pertinentes d’exécution matérielle. Filliou est adepte de l’indifférence esthétique et de la spontanéité hasardeuse, il se veut « un animateur de pensée » et tend à nous livrer des propositions poétiques autant que des outils conceptuels destinés à changer notre regard sur le monde, et donc finalement à changer le monde lui-même.

L’artiste n’a pas fréquenté d’école d’art et son apprentissage de l’art n’est autre que sa propre vie.

A' l’instar de ses camarades du mouvement Fluxus, Filliou veux construire un lien définitif entre l'art et la vie et souligner l'importance du faire, de la création en tant qu'acte. Le faire doit être dissocié du savoir faire. L'artiste a toute sa vie refuser de se prêter au culte de la personnalité en affirmant que « l'art est ce qui rend la vie plus intéressante que l'art ».
Pour Filliou tout à chacun est porteur d'un génie, c' est suffisant développer se propres facultés à travers l'innocence et l'imagination.


Francesca Davide
numero et:10271398
erasmus

"Formes vives"-Adrien Zammit

Adrien Zammit, un graphiste, il a fait un conférence avec nous en 18 mars 2011. Ses œuvres ont un style d'peints à la main, avec un sens de l'art pop, couvrant un large éventail, par exemple: magazines, journaux, expositions, site Internet….etc.


J'ai d'abord vu son travail, permettiez-moi de penser à Keith Haring, le fameux American artiste, surtout quand il a exposé le papier - Article 11. Article 11 est une jeune équipe, l'essentiel des œuvres de la littérature, publié une fois tous les deux mois. Adrien Zammit utilisait une manière spéciale pour éditer le journal,
cette publication a quatre caractéristiques :

1.    un format atypique, très allongé, 24 x 44 cm

2.    une impression en bichromie (un bleu foncé remplace le noir ordinaire, la deuxième couleur change à chaque numéro)

3.    un travail typographique subjectif et non conventionnel, et qui prolonge la singularité de chaque contenu.

4.    la présence d'images fortes, indépendantes des textes (≠illustrations).

Ces caractéristiques qui m'ont fait sentir très intéressant, il a créé l'image est très forte, les
créations était pleines de pages souvent. Il y a beaucoup de petits détails intéressants, mais
les textes n'a pas éclipsé, car l’impression en bichromie, contrairement, ses journaux sont
unique par cela. 
Son travail est très vivant, je pense que ce n'est pas seulement un journal, mais une peinture. Son style est parfois comme des dessins d'enfants, la couleur est très lumineuse, Le sens du journal est très jeune, et c'est le style du journal que je n'avais jamais vu auparavant.

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Adrien Zammit
Formes vives (Adrien Zammit & Nicolas Filloque)
La conférence a Paris 8
18 mars 2011
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LIN,Ying-Yun,  L3 Arts Plastiques
10273754
 

mercredi 8 juin 2011

"Leviathan"- Anish Kapoor

« Il n’y pas de spectateur innocent. »
« La vision s’accompagne toujours de complications, s’une histoire, d’un passe plus ou moins réel. L’art abstrait, et en particulier la sculpture, travaille cette idée que le spectateur participe a la fois avec son corps et sa mémoire. Quand la mémoire et le corps parcourent, traversent un œuvre d’art, quelque chose se passe, quelque chose change. »--------------------Amish Kapoor



Amish Kapoor, il est un plasticien contemporain (principalement sculpteur) britannique d'origine indienne, il s'est révélé un nouveau style et gagnant une reconnaissance sur les scènes internationales.
 Cette année, il a été invité à être créé pour le Grand Palais.

Les vidéos d’Interview:

Un peu froid ce jour-là a Paris, Je suis entré dans le lieu en toute hâte, avec la porte tournante, j'ai ete dans un monde rouge. Lors de la visite, j'ai déjà su que ce travail est incroyable, par conséquent, je n'ai pas m'enquêté sur toute information, J'ai voulu me sentir directement à partir des œuvres de sa création. Le rouge du monde est énorme, comme dans le corps d'un monstre, et les trois ballons géants ont eu comme les trois canaux bizarres. Ces lignes nettes, je pense qu’il y a le goût qui est comme l'Op Art ou le surréalisme. J'ai été dans un monde fantastique, le début de la confusion a été immédiatement attiré par la lumière, parce que la balle est pénétrable à la lumière, le soleil est venu de la verrière du Grand Palais, l'ombre de la construction pour devenir les arcs qui sont les plus beaux dans le ballon, le fantasme, il est l'architecture mystérieuse abstraite. Le temps a été très instable ce jour, le nuage a se déplace rapidement, la lumière est devenu plus dramatique et poétique, je peux sentir les publics autour de moi a été choqué et ému par ce travail, les gens errent dans le corps de ce mastodonte.


Ce travail était grand et dans un espace confiné, par ceci, l'atmosphère était un peu forcée. J'ai assis à de endroit aléatoire, Je suis touché parce que la lumière du changement, c’était instantané, la caméra ne peut pas prendre une telle atmosphère, j’étais très choqué que cette création, Je peux totalement comprendre pourquoi il peut devenir célèbre internationalement. Les gens devenaient insignifiantes dans ce travail, ce plan de travail, je pense que l'utérus, Je m'occupe de son travail montre, la direction de son travail et la  création, c’est touts me donne la même impression. Je pense que c'est un vrai maître de la capacité, il n'a pas besoin d'interprètes, mais plutôt de s'asseoir n'importe où, son travaille peux faire le dialogue directement avec les publics.

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Anish Kapoor
Leviathan
Monumenta 2011
du 11/05 au 23/26 2011
Grand Palais
Paris
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LIN,Ying-Yun, L3 Arts Plastiques
10273754

mardi 7 juin 2011

La ville fertile !




Aujourd’hui la principale préoccupation de la génération qui a parvenu à un niveau de vie stable a changé la direction de l’environnement agréable et on commence regarder l’entourage . Donc naturellement, ‘ecolife’ devient la conversation chaleureux. 
‘Un guide pour la vie en vert’ ce qu’on peut chercher immediatement à site internet. Par exemple, apporter Tumbler est considéré comme ‘le mouvement de conscience’ et les entreprise, lesquelles sont tirées profit des tendances, poussent comme des champignons ces derniers temps-nommer la mode, lesquels sont fabriqué par matériaux naturel, ‘fashion ecology’. Mais ces sortes de mouvement sont efficace vraiment?
Grâce à des efforts de beaucoup de gens, les organisation écologique, ‘conscience vert’ devient un concept familier. Et on n‘est plus une poériode qu’on comprend la nature comme l’objet de la contemplation ou l’extorsion. Toutefois il n’est pas suffisant. On peut difficilement espérer la solution de la crise écologie mondiale par l’attention et les minorité de mouvements. Il faut modifier plus profondément .

Ainsi l’exposition ‘La Ville fertile’ qui présente le plan d'urbanisme vers l’écologie était très intéressant. Car l’architecture ou la maison embrasse une grand partie de la vie. En plus le lieu habité explique ce qu’il aspire à un idéal. Des effort pour batîr un maison, macroscopiquement c’est pour la maison planète(la terre) . 
Personnellement il est regrettable que j’aie des difficulté à appliquer les propose des archtectes à la réalité seluement avec le plan. Mais je rêve de vivre à la ville fertile!


<< Présentation >>

A travers l'exposition 'La Ville fertile', la Cité de l'Architecture et du Patrimoine traite en détail l'un des sujets majeurs du moment en replaçant la question de la nature en ville dans une perspective large, qui en aborde les dimensions historique, sociale, culturelle, botanique autant qu'écologique. A voir jusqu'au 24 juillet 2011.
L'exposition, composée de deux séquences, propose une immersion dans le monde végétal et urbain, en même temps qu'elle donne à voir les différents éléments qui le traversent : l'horizon, l'eau, le vent, le paysage urbain, les sons...
La première séquence de l'exposition, intitulée 'L'Objet du désir', a été confiée, pour le commissariat et la scénographie, à l'architecte de paysages Nicolas Gilsoul. Elle vise à montrer, à travers une mise en scène très théâtrale, que lorsque nos fantasmes de nature s'incarnent dans la réalité des villes, ils convoquent une grande diversité d'approches créatives, d'innovations technologiques, de domaines de connaissances scientifiques inédits et de nouvelles urbanités.
Cette richesse et cette profondeur sont illustrées par 16 projets prospectifs et réalisations récentes, en France et dans le monde, répartis entre quatre thèmes :
Forêt,Prairie,Friche,Rives & rivages


Audios
http://www.citechaillot.fr/vod.php?id=201

Les citations intéressantes de monsieur Antoine Perrot


  Les citations intéressantes de monsieur 
  Antoine Perrot
 
Semestre dernier, j'ai été l'un des participants au cours Perrot Antoine (artiste et professeur dans une même personne). Avec d'autres élèves à cause de lui nous avons vu la création de plusieurs artistes, et M. Perrot nous enrichi de plusieurs idées intéressantes et des informations.
Voici quelques citations intéressantes pour moi:
  • il n´y a pas d´inspiration
  • la théorie vient la pratique
  • tout a son temps, il n´y a pas vraiment un grand artiste qui est trop jeune
  • lorsque le temps d'apprendre à utiliser le matériel pour exprimer ce que nous voulons
  • il est impossible de créer le "juste pour", il ya toujours quelque chose exprimé
  • chaque artiste doit créer son propre style, un «protocole», qui sont régis dans leur travail
  • couleur principale est bleu


     

"Peintures Porte-bonheur" - Antoine Perrot


Êtes-vous familier avec le nom de l'artiste?
Oui, c'est notre professeur de classe,

M. Perrot.

Polychromie, c'est ma première impression de cette exposition. Il a utilisé les médias très spécial, cet adjectif, spéciales, qui ne signifie pas que les médias est difficile d'obtenir, au contraire, il a utilisé certains fournitures très fréquents dans la vie quotidienne pour créer, par exemple : épingle, tampons abrasifs, confettis de tract, ruban adhésif, boules de lit…etc.

Ces œuvres colorées, les couleurs ne sont pas les peintures communs, mais il  usait de la couleur des médias (ex: plastique), cela a une terminologie: «la couleur ready-made».Je pense que les couleurs sont très saturées en raison de plastique, il y a beaucoup de travaux sont visuellement animée. Les travaux    sur cette exposition, la composition abstraite me fait penser au color-field painting ou le designer britannique- Paul Smith.
Nous avons observé soigneusement le travail, dans la même couleur, il  mélange les autres couleurs contrasté pour rendre l'image plus vive. Cette exposition presque toutes les couleurs éblouissantes avec un sens du dadaïsme, que quelques-uns de création un peu sombre.
Le thème est « Peinture Porte-bonheur », en raison de son utilisation active de la couleur et les médias, j'ai eu le sentiment ludique. Comme dans un rêve d'enfant, l'ambiance festive dans ses œuvres. J'aime particulièrement «Jour de bonheur», il a montré la créativité des médias, les différentes couleurs de set de table ont tissé ensemble, et il y a les épingles en les différentes tailles et couleurs au-dessus, la couleur est très frais, comme les petits couleurs chocolat sur la glace ou la couleur de l'atmosphère à bulles de la bande dessinée, le travail inhabituel, je l'aime.
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Antoine Perrot
Peintures Porte-bonheur
L’exposition du 7 avril au 14 mai 2011
Galerie Lahumière, Paris
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LIN,Ying-Yun
L3 Arts Plastiques
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