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vendredi 10 juin 2011

Anish Kapoor


Ma première rencontre avec ses œuvres a eu lieu en 2009 à Royal Academy of Art. Pendant des années, je ne peux pas oublier son exposition et les sentiment que j’ai senti. Un canon itinérant projetant de gros paquets de cire rouge qui dégouline ensuite sur les murs, les tour en ciment qui évoquent la déjection, des cire rouges en bouillie sur la mur...en regardant ses œuvres, j’ai saisi que la relation entre la beauté et le laid n’est pas l’ironie dans le monde de l’art, il est proche la polysémie. Seulement il y avait le sentiment d’existence que J'ai perdu un moment mes esprits. Peut-être c’est ce que le sublime.




Depuis des mois, j’avait attendu son expo et la semain dernier j’ai pu rencontre la grand minimalism à la Nef du Grand Palais.
Au début, après avoir passé la porte tournante, j’étais totalement choquée, puisque l’ambience de cet salle était très fantastique et chaude. Cet salle rouge me rappellait l’utérus. Dans ce lieu, je me sentais l'âme pieuse comme j’étais très petite. C’était une expérience poétique, méditative. Il crée l'atmosphère mythique et mélancolie.

Né en 1954, Anish Kapoor produit depuis les années 80 une œuvre à la fois méditative et puissante. Souvent épurées, toujours d’une grande force, ses installations-sculptures captent de manière vertigineuse l’attention du visiteur. Miroir poli, poudres de pigment, béton brut ou cire grasse, les matériaux utilisés par l’artiste sont au service d’un jeu de formes à la fois organique et minimaliste. 



Entretien vidéo avec Anish Kapoor au moment de l’inauguration de son exposition pour la Monumenta 2011

LA PEINTURE ?

"Une peinture de chevalet est une peinture de chevet, qui n'habille que les rêves bougeois."                              Antoine Perrot, Carnets, 1997

"Non, la peinture n'est pas faite pour décorer les appartements, C'est un instrument de guerre offensive et défensive contre l'ennemi."                                                    Pablo Picasso

"La peinture, dit ma voisine, ça défatigue."                      Georges Perros, papiers collés

mardi 7 juin 2011

La ville fertile !




Aujourd’hui la principale préoccupation de la génération qui a parvenu à un niveau de vie stable a changé la direction de l’environnement agréable et on commence regarder l’entourage . Donc naturellement, ‘ecolife’ devient la conversation chaleureux. 
‘Un guide pour la vie en vert’ ce qu’on peut chercher immediatement à site internet. Par exemple, apporter Tumbler est considéré comme ‘le mouvement de conscience’ et les entreprise, lesquelles sont tirées profit des tendances, poussent comme des champignons ces derniers temps-nommer la mode, lesquels sont fabriqué par matériaux naturel, ‘fashion ecology’. Mais ces sortes de mouvement sont efficace vraiment?
Grâce à des efforts de beaucoup de gens, les organisation écologique, ‘conscience vert’ devient un concept familier. Et on n‘est plus une poériode qu’on comprend la nature comme l’objet de la contemplation ou l’extorsion. Toutefois il n’est pas suffisant. On peut difficilement espérer la solution de la crise écologie mondiale par l’attention et les minorité de mouvements. Il faut modifier plus profondément .

Ainsi l’exposition ‘La Ville fertile’ qui présente le plan d'urbanisme vers l’écologie était très intéressant. Car l’architecture ou la maison embrasse une grand partie de la vie. En plus le lieu habité explique ce qu’il aspire à un idéal. Des effort pour batîr un maison, macroscopiquement c’est pour la maison planète(la terre) . 
Personnellement il est regrettable que j’aie des difficulté à appliquer les propose des archtectes à la réalité seluement avec le plan. Mais je rêve de vivre à la ville fertile!


<< Présentation >>

A travers l'exposition 'La Ville fertile', la Cité de l'Architecture et du Patrimoine traite en détail l'un des sujets majeurs du moment en replaçant la question de la nature en ville dans une perspective large, qui en aborde les dimensions historique, sociale, culturelle, botanique autant qu'écologique. A voir jusqu'au 24 juillet 2011.
L'exposition, composée de deux séquences, propose une immersion dans le monde végétal et urbain, en même temps qu'elle donne à voir les différents éléments qui le traversent : l'horizon, l'eau, le vent, le paysage urbain, les sons...
La première séquence de l'exposition, intitulée 'L'Objet du désir', a été confiée, pour le commissariat et la scénographie, à l'architecte de paysages Nicolas Gilsoul. Elle vise à montrer, à travers une mise en scène très théâtrale, que lorsque nos fantasmes de nature s'incarnent dans la réalité des villes, ils convoquent une grande diversité d'approches créatives, d'innovations technologiques, de domaines de connaissances scientifiques inédits et de nouvelles urbanités.
Cette richesse et cette profondeur sont illustrées par 16 projets prospectifs et réalisations récentes, en France et dans le monde, répartis entre quatre thèmes :
Forêt,Prairie,Friche,Rives & rivages


Audios
http://www.citechaillot.fr/vod.php?id=201

mercredi 25 mai 2011

KRISTINA HECKOVA

J'ai eu l'occasion de voir les oeuvres de Kristina Heckova 2 fois. Au début à Fondation d'entreprise Richard, l'exposition intitulée "Ligne de chance" et à Salon de dessin contemporain "Drawing now" au mois de mars. 
c'était très interessant, car à ce moment-là je m'intéressais le dessin sur la mur.  
Comme un poète matérialise son monde interne avec des mots, les artistes lient le monde conceptuel à le monde concret par la ligne qui est matièraux essentiel.
Surtout Kristina Heckova utilise les lignes et les lieux aussi. A mon avis,on peux dire que ces ouevres sont in situ art.
En général les artistes qui travaillent sur in situ art approfondissent qu’est-ce q’ils pouvent poser un acte dans le lieux particulier et que cet acte influence le lieu de residence et les habitants. Ses oeuvres sont sensible à la spécificité du lieu.






                                     
Si les dessins de Kristina Heckova ne se donnent pas facilement, c’est que l’observateur doit d’abord les chercher dans l’espace d’exposition. Sa série intitulée "les animaux invisibles" a pour principe de se développer dans l’espace concret: elle dessine à même le mur, utilisant les accidents que sont les prises, les interrupteurs ou des décrochages de maçonnerie. Ou bien elle plante un clou et y accroche un fil auquel va littéralement «tenir» le dessin. Ailleurs, une partie de l’animal en pâte à modeler fait corps avec le mur. Là encore, c’est notre rapport à l’animalité qui se dessine : l’animal comme Autre par excellence, mais aussi confrontation à notre propre part d’animalité. Le trait de Kristina Heckova est précis, gracile, dépouillé. Le dessin suspend l’instant du regard.

Ses vidéos sont aussi très intéressent. si vous voulez voir ses travaux, 
 vous pouvez consulter son site internet



dimanche 15 mai 2011

Frans Krajcberg à l'Espace Krajcberg






Au début, lorsque j’ai regardé les œuvres de Frans Krajcberg à l'Espace Krajcberg,, avenue du Maine à Paris, j’en ressortais de l’inconfort parce qu’elles sont comme la mort de la nature, tout simplement. Mais après avoir vu la vidéo qu’il a réalisé à Bahia, je le savais pourquoi. Le problème était White cube.
Ses œuvres, lesquelles sont installées en Amazonie, ont une musicalité particulière et j’ai trouvé qu’ils sont comme le cri. Elles sont brulées dans leur état sauvage.
Artiste brésilien d'origine polonaise, Frans Krajcberg puise les matériaux pour la création de son travail artistique dans la nature.
L’artiste utilise des fragments de la nature issus de la destruction de la forêt , tels les arbres carbonisés, dans la création d’un langage artistique originelle. Pour ce faire, il s’isole dans la forêt en quête de matériaux et d’inspiration.
Sa démarche suggère un rite de guérison. Il insuffle la vitalité et la beauté à la destruction du morceau en le sculptant et en le coloriant. C’est le processus artistique pour redonner la voix spirituelle et la résurrection de la forêt.
Il dessine, sculpte, empreinte, filme et écrit. Frans Krajcberg a engagé sa vie dans cette lutte planétaire.

En 1978, il rédige le « Manifeste du naturalisme intégral" ou "Manifeste du Rio Negro » à la suite d'un voyage en Amazonie avec le critique d’art Pierre Restany et le peintre Sepp Baenderenck. Ce manifeste a éveillé des résonances profondes.
"Je veux crier ma révolte !" dit Frans Krajcberg.
Il sauvegarde sans cesse des forêts riches, mouvementées vibrantes de couleurs, poussant librement


http://www.museedumontparnasse.net/Presentation.html