lundi 11 avril 2011

Le Cube - Centre de création numérique

Strange & Wonderful | ÉTRANGE & MERVEILLEUX: Exposition vidéo et illustrations




DATE : Du Mercredi 9 Février 2011 au Samedi 23 Juillet 2011
LIEU : Le Cube, 20 cours Saint-Vincent - 92130 Issy-les-Moulineaux
HORAIRE : De 12h-19h, nocturnes le mardi et le jeudi > 21h
PRIX : GRATUIT













Le Cube, centre de création numérique. Créé en 2001 à l’initiative de la Ville d’Issy-les-Moulineaux, Le Cube est un espace de la Communauté d’Agglomération Grand Paris Seine Ouest.


C’est ma première fois d’aller à ce centre de création numérique qui se trouve sur tramway T2 “Les Moulineaux. C’est pas justement une gallerie,aussi qu’il y des ateliers,des salles documentaire et vous pouvez solliciter les projets artistiques. D’ailleurs     il a lieu beaucoup d’activités artistiques ou les rencontre avec les artistes. 



L’exposition actuelle c’est Strange & Wonderful | ÉTRANGE & MERVEILLEUX. Sa gallerie est caché dans ce bâtiment où on doit monter un escalier trés étroit. C’est une exposition des illustrations et  des courts-métrages. C’est exposition montre les éléments “mignon” mais plus sombres, étranges et marrants. La conception de cette exposition est “hors monde” qui veut montrer un pays merveilleux et onirique. Cet espace était décoré en une espace étrange où explorent nos imagines et nos craintes.









Dés que j’entrais dans ce gallerie, j’ai vu un mur d’illustrations de Nicoletta Ceccoli mais je pouvais pas être sûre que ce sont les origines car elles ressemblent des fiches à imprimer.


J’aimais les courts-métrages qui étaient exposé là. Ils montrent angoisses,humours noirs ou même peurs.  Ce sont les créateurs des courts-métrages.

Rodrigo Blaas, « Alma » (USA, 2009, 5’)
Jérémy Clapin,
Skhizein
(France, 2008, 13’30”) C’est le métrage que je préfère.
Joanna Lurie, Le silence sous l’écorce (France, 2009, 12’)
Nadia Micault et Lorenzo Nanni,
Naïade
(France, 2008, 12’) Eb Hu, Josie’s Lalaland (UK, 2007, 4’)
Terri Timely,
Synesthesia
(USA, 2009, 4’) Andy Bruntel, Scissor (USA, 2010, 4’48”) Frédéric Sofiyana, All (in) One (France, 2010, 1'25'') Frédéric Sofiyana, The words (France, 2010, 3'06'')

Si vous vous intéressez y aller, c'est un lieu calme et qui organise souvent les réunion ou les activité artistiques.
Voilà,c'est le site de LE CUBE;http://www.lecube.com/.


LI,Wei-Ping 10271389, Arts plastiques 







Basquiat au Musée d'art moderne

Basquiat au Musée d'art moderne
du 15 octobre 2010 au 30 janvier 2011

C'est la première fois qu'à Paris une grande exposition est consacrée à Jean-Michel Basquiat, artiste d'origine portoricaine et haïtienne, né en 1960 à Brooklyn et mort en 1988 d'une overdose. Dans ses œuvres présentent des cultures, il n’est jamais allé Haïti mais sa racine  apparaît sur ses œuvres. Il mélange des publicité et des médias,de la musique afro-américaine et l'affirmation de sa négritude.
Basquiat est un artiste que j’aimais beaucoup depuis j’étais étudiante à Taïwan donc c’est fois qu’une chance de le visiter à Paris. Cet exposition comprenait tout les œuvres dans sa vie qui était organisé par chronologie. Et il y avait plein de œuvres qui n’étaient jamais exposé au publique. Sans aucun doute, c’était une rétrospective de Baquiat,l’exposition a réunit tous ses toiles,dessins et photos.
L'exposition cherche à démontrer non seulement que Basquiat a été un personnage important  dans les années 80, mais aussi que ses réalisations artistiques ont une importance pour l'art du 20e siècle. 

Dès  que je suis entrée dedans, j’ai vu que ce un monde trés coloré. Dans première partie d’exposition,c’était la période qu’il faisait les peintures sur les toiles présentant les charpentes osseuses,les visages ces sont les plus souvent élément dans cette période. Il représentait autres éléments de sa vie aussi: voitures,bâtiments et graffitis. Ses œuvres restent empreinte des graffitis de ses débuts, où il mélange couleurs vives et textes à thèmes. C’est dommage que je suis allée au dernièr jour d’exposition,il y avait trop de monde même si le musée d’art moderne contrôlait visiteurs limite. On ne voyait pas trés bien les détails des  œuvres.


Et puis la prochaine période;il utilisait toutes matières:sur panneaux et la rencontre avec Andy Warhol. Andy Warhol est un grand artiste américain du pop art et qui a une solide amitié avec Basquiat. Ses co-créations  représentent nouvel esprit de l’art.
Sa mort prématurée en 1988,ses oeuvres substantiels s' imprégnent  par morte. Pour finir, c’est vraiment une exposition merveilleuse, on voit toutes les œuvres d’arts de Basquiat qui étaient collectées de tout le monde. On peut bien comprendre la vie et l’esprit de Basquiat , un de grand artistes contemporain du monde.

Même si cette exposition est déjà fini,mais ça me donne étonnants et c'était digne d'y aller.








LI, Wei-Ping,10271389, arts plastiques

mercredi 6 avril 2011

V’là aut’chose !

Du 24 mars au 23 mai 2011
                            La Verrière   Exposition
     Leroy Merlin Quai d’Ivry   ouverte
      2-12 rue François Mitterrand     du lundi au dimanche
                             Ivry-sur-Seine     de 9 h à 20 h

"V'là aut' chose !..." Philippe GABEL (Photographie), Octave DEBARY (Réflexions anthropologiques)

    Mardi le 05 avril, je suis allée acheter un cadre de ma peinture à Leroy Merlin Quai d’ivry. Et puis j’ai vu par hasard une exposition intéressante de Photo. La manière dont ils s’exposent dans tous les côté de mur, un peu partout, a l’air assez insolite. Il y a plusieurs formats  en regroupant quatre secteurs dans un grand hall d’entrée.

Le premier coup que j’ai eu, c’est ce que toutes les photos sont en noir et blanc et les images de personnages.  On dirait ‘Des portraits avec des objets sur eux’. Alors je me suis dit que l’artiste travaille sur les histoires entre l’être humain et l’objet, surtout dans la vie banal sans aucun superflu.  Heureusement le thème n’était pas très loin de cela. Vous allez voir aussi sans difficulté.

Mais ce qui est vraiment intéressant comme sa préoccupation personnelle, ce n’est pas seulement ce qu’il focalise son attention sur une simple histoire d’amitié entre la personne et l’objet. Mais il nous montre aussi la joie de s’approprier autant de souvenirs disparus que de mémoires à venir. L’artiste tente de montrer que ces objets ont une valeur qui repose sur leur pouvoir de consigner une histoire : une histoire transmise entre les gens par le biais d’un échange marchand. La reprise des objets, leur changement de main, leur assurant un nouvel avenir, souvent comme objets de souvenir.      

 
500 × 754


                                                                        800 × 1086


                                                                       500 × 667

  Pour eux, les vide-greniers sont devenus des musées de plein air ou se bricolent des mémoires faites d’objets usagés. Je trouve cela, c’est un travail très humaniste. Je vois les excitations de chineurs qui tiennent en main leur trouvaille avec un sourire  devant les photos, et les objets qui ont enfin rencontré les nouveaux usagers avec qui ils vont tricoter une nouvelle histoire de rencontre. Peut-être, il y a un peu d’inquiétude chez objets. Parce que le repreneur n’est pas toujours bon usager d’objet avec tant de tendresse. C’est pour cela que l’artiste nous laisse deviner le plaisir éphémère du chineur et son regard pétillant à la découverte de l’objet de son désir.

Après cette visite, j’ai regardé mes objets chez moi. Ils sont un peu partout dans tous les sens, silencieux, familiers, avec tant de mémoire. Ils ont été toujours là. Ils sont encore là pour moi, sans m’insister de les servir. Je ne sers plus depuis longtemps certains entre eux. Peu importance de leurs existences. Du coup, j’ai eu un peu de culpabilité, de pitié d’eux.  Une courte réflexion me suit…    

Oui! cet ouvrage disponible en librairie. le prix est 19euros.

jeudi 24 mars 2011

Rétrospective GENERAL IDEA à PARIS



   J’ai participé au vernissage de cette exposition grâce à ma connaissance. Alors que l’on ne peut pas y participer sans une carte d’invitation. Quand j’ai fait la queue, j’ai vu plein d’artiste assez connu,  même très connu.

  Bref, General Idea est Né en 1969 au CANADA,  connu et reconnu par mille mystifications. Il y a près de 300 œuvres selon un parcours non chronologique comme les peintures er installations, sculptures et photographies, vidéos, magazines et programme télévisé.
Ils s’entremêlent sans cesse le réel et la fiction dans une relecture critique, transgressive, toujours intense, parfois parodique. Ils produisent un mode de vie, même une culture, une éthique en faisant souvent la référence à les autres afin de l’habiter, et d’en modifier le contenu à leur manière. C’est la raison pour laquelle on les voit ironique, conceptuel, politique avec une manière très scandaleuse à l’époque. Voilà comme les œuvres suivants.


                                                              P is for Poodle
                                               1983-1989, tirage argentique, 76,2x63,5cm

Ici, ils se sont déguisés en caniches avec le maquillage. Ce qu’ils voulaient dire, C’est que le cliché de l’artiste libre est balayé par une caricature de la docilité comme des chiens. Là je vois qu’ils dénoncent une manque d’indépendance, de résistance de l’artiste face à la conception banale, masse de l’art de l’époque.


 
                                                     Imagevirus (New York Subway), 1991

Ici, on voit un exemplaire de série du projet AIDS. GENERAL IDEA a détourné le motif «LOVE» de Robert Indiana en AIDS». Et ils ont réalisé plein de série très diversifies, avec de nombreux supports en manifestant dans une dizaine de villes nord-américaines et européennes, même dans les lieux publics.
En tournant la salle de l’exposition, même après la sortie de la salle, GENERAL IDEA m’a fait penser sur la culture massive jusqu'au sens de langue, la définition des mots ainsi que ma conception artistique. Surtout, j’ai bien aimé le film dans lequel ils se posent la question,  à la fois, nous rendent la question sur la notion de langage.
 Deux entre eux sont morts à cause de sida comme d’héros fatal.

Si vous voulez, allez voir cette exposition! Vous avez encore le temps!

du 11 février au 30 avril au musée d’Art Moderne de la ville de Paris

mardi 22 mars 2011

CURSIF - Renée Levi expose au Crédac

J'ai visité l'exposition de  Renée Levi au centre d'art contemporain d'lvry .
Elle née à Istanbul en 1960, vit ettravaille à Bâle. Elle est de ces artistes qui ont pour objet permanent d’élargir et de redéfinir avec vigueur le champ de la création et plus précisément, la concernant, celui de la peinture.
Longtemps identifiée grâce à la peinture au spray que Renée Levi utilisait, à la fois directement au mur ou sur toiles, la peinture elle-même devenait le motif.
Les grandes interventions évoquaient les ornements, l’abstraction. Entre espace décoratif et performance, entre déploiement d’une peinture et la fresque, entre la projection du geste et le graffiti, entre le retour à l’écriture et la biffure, son œuvre suivait un rythme syncopé







     
        
          

grandes toiles, qui portent le geste de l’artiste, on trouve ça et làdes petits objets qui contiennent des petits dessins placés dans la masse du plexiglas.Sortes d’inclusions, ces petits trésors anonymes sont des tests de dessins glanés dansles papeteries. Ils questionnent sans doute la tentative, l’instinctif et le primitif.C’est dans cette question que se situe, se pense et se met en place « Cursif »,importante étape dans l’investigation de l’artiste suisse.


DATE : Du Vendredi 14 Janvier 2011 au Dimanche 27 Mars 2011
LIEU : Le Centre d'art contemporain d'Ivry - le Crédac (Ivry-sur-seine 94160)
HORAIRE : de 14h à 18h
PRIX : GRATUIT



LI Ying ,10273766 ,arts-plastiques

samedi 19 mars 2011

Sophie Calle



Sophie Calle est une artiste plasticiennephotographeécrivaine et réalisatrice française, née à Paris le 9 octobre 1953. Depuis plus de trente ans, son travail d'artiste consiste à faire de sa vie, notamment les moments les plus intimes, son œuvre en utilisant tous les supports possibles (livres, photos, vidéos, films, performances, etc.).
 J'ai trove sa livre "Sophie Calle: Did You See Me?" dans le Bibliothèque de l'école . Ce livre est préparée  son exposition  au Centre Pompidou 2003 .
L'exposition ouvre sur une œuvre en trois volets : "Douleur exquise" (1984-2003). La phase 1 "Avant la douleur" reprend le travail du livre homonyme en déroulant sous forme photographique, le compte à rebours des 92 jours du voyage de Sophie Calle en Asie. Ayant obtenu une Bourse pour le Japon, l'artiste y est partie fin 84 pour trois mois, laissant en France un amoureux contrarié de ce départ. Le 25 janvier 85 ils devaient se retrouver dans la chambre 261 de l'hôtel Impérial à New-Dehli. C'est en fait une rupture plutôt cavalière et prosaïquement téléphonique, qui attend Sophie dans cet hôtel.
A la fin du décompte des jours, on arrive dans une reconstitution de cette chambre 261, centre de la douleur. Le costume raffiné qu'elle avait choisi pour ces retrouvailles attend sur le lit, le téléphone rouge de l'appel fatal, sur l'autre.
L'autre entrée de la chambre donne sur le troisième volet de l'œuvre : "Après la douleur". C'est une succession de panneaux rectangulaires faits de textes brodés, un panneau sur deux étant le récit de la plus grande douleur d'une personne rencontrée par Sophie, un panneau sur deux étant la narration de cette rupture, narration qui s'étend elle aussi sur trois mois. C'est ainsi que les premiers textes occupent tout le panneau et sont brodées en blanc sur gris foncé, puis au fil du temps, au fil de l'évaporation de la douleur, la couleur de la broderie fonce en même temps que le texte raccourcit et devient de plus en plus distancié, pour se terminer par un panneau gris foncé sur gris foncé, très court et dont le dernier mot est "Suffit".
On passe ensuite aux "Dormeurs" (1979), officiellement première œuvre de Sophie Calle. Il s'agit d'un ensemble de photos commentées de personnes qui ont fait les 3 huit dans le lit de Sophie pendant 8 jours. En regard de ces dormeurs, "Voyage en Californie" installation autour du lit qu'elle a envoyé à un américain qui, venant de vivre une rupture amoureuse, lui demandait l'autorisation de venir vivre son deuil dans son lit à elle. Lit qu'elle avait préféré lui prêter.
Sur le coté gauche de cette salle, on reste dans l'intimité avec "La Chambre à coucher" (2003) : une sorte de comptoir où on s'accoude pour lire l'histoire d'une trentaine d'objets résumant "la vie de jeune fille" de Sophie Calle, objets à portée de vue mais non de main. Par exemple, la photo de Freud pour raconter comment Sophie a commencé une analyse, pensant aller chez un généraliste pour soigner sa mauvaise haleine, suite à un rendez-vous pris par son père, et se retrouvant en fait chez un psychanalyste lui demandant "vous faites toujours tout ce que dit votre père ?"
Ou la robe rouge de son non-mariage sur le tarmac d'un aéroport, ou un des trois chats de sa vie empaillé, ou le dernier Télé Star lu par sa mamie quelques semaines avant sa mort. Ou le bouquet de Franck Gehry, l'ange-gardien de Los Angeles. Cet aquarium à souvenirs est poétique et drôle et résume bien la Sophie Calle publique.
En face des "Dormeurs", "les Aveugles " une vingtaine de photos d'aveugles, à qui Sophie Calle a demandé ce qu'était la beauté pour eux. A coté de chaque photo, la réponse et une illustration de celle-ci. C'est mis en scène comme des ex-voto. Et ça en a le coté étonnant et émouvant. On parcourt cette salle dans une sorte de recueillement dont le point d'orgue est la dernière réponse. Une autre œuvre interroge des aveugles sur leur ressenti face à des toiles, et met leur réponse en regard de propos d'artistes. ("La couleur aveugle")
Cette livre montre également que l'œuvre d'un artiste n'est pas seulement formelle, qu'elle est faite d'intentions, d'obsessions, de thèmes archétypiques. Et prouve enfin, aux éventuels récalcitrants, que Sophie Calle n'est pas une artiste anecdotique mais une artiste ayant pleinement sa place sur la scène internationale. 

LI YING , 10273766 , Arts-Plastique

                        

dimanche 6 mars 2011

GARGOSIAN GALLERY


         J'ai visité la Gagosian Gallery pour la première fois. C'est une galerie américaine. Je la connaissais comme la galerie de Takashi MURAKAMI ou Yayoi KUSAMA aux Etas-Unis. Au FIAC de 2010, elle m'a montée un grand stand dynamique qui s'est située sur l'une de les meilleurs places du Grande Palais. Selon son site, elle a plusieurs salles d'exposition aux Etas-Unis, en Europe ( France, Italie, Suisse etc) et en Asie. Même elle a l'air « forte », il était étrange pour moi qu'il y ait pas son nom sur la liste de la Fondation Ricardo, qui présente les principales galeries commerciales à Paris.

Cette galerie est dans le quartier des Champs-Élysées, à côté se trouvent plein de boutique de mode, hôtels quatre étoiles ou instituts de beauté. Et elle est juste à côte de Christies.
Sa façon d'accueil est particulière. Il y avait un agent de sécurité qui déverrouille avec un bouton intérieur la porte automatique en verre. Un autre agent de sécurité m'a accompagnée et surveillée pendant que je visitais.
Après l'entrée il y avait deux salles, de 60 mètres carrés à peu près. Le sol est en marbre rose et à le plafond vraiment haut, il y a des spots. C'était comme un « musée », beau, luxe, grand et clair. Après deux salles, j'ai trouvé un bureau/ accueil où deux personnes travaillent, l'un d'eux était un garçon « beau » comme un vendeur de mode. Ils m'ont ignoré, bien sûr. A l'étage, il y a un autre petite salle.
Il y avait deux expositions différentes entre deux étages. Au rez-de-chaussée, j'ai vu l'exposition collective de Rodin et Sugimoto. Les sculptures de Rodin étaient assez grandes, de 5-6 figures. Les photos de Sugimoto qui est un artiste dons les œuvres sont les plus chères pour un artiste Japonais, c'était ses dernières œuvres de la mode que je n'avais jamais vues. Je n'ai pas osé de demander le prix des oeuvres.
A l'étage, il y avait une exposition de gros bijoux qui venait de commencer. J'ai trouvé un groupe de mesdames qui était guidé par une galeriste et deux équipes de télé avec des présentatrice habillées bizarrement.
J'ai senti que c'était une galerie vraiment « bourgeoise » et un sens de la beauté occidental (ou américaine ?) classique. Tout est différent du la monde où j'habite, et pour cette raison, elle était très « intéressante » pour moi. De plus, ce qui m'a étonné est qu'elle m'a permis d'entrer, cette petite étudiante asiatique, même si j'ai été surveillée par la sécurité tout le temps. C'était clair que j'étais pas sa clientèle. Pour remercier leur grande tolérance et gentillesse, j'ai écrit ce blog pour faire connaitre son existence aux jeunes étudiantes d'arts plastiques à Paris.


Rodin/ Sugimoto
du 11 fév au 25 mars 2011

Victoire de Castellane
du 2 mars au 22 mars 2011

à Gagosian Gallery
4, rue de Ponthieu 75008
www.gagosian.com