jeudi 12 mai 2011

Jean-Luc Verna


Jean – Luc Verna
Mon histoire, c´est l´histoire de mon corps“!



Je n'arrêtais pas de le regarder. Quand il est apparu avec notre professeur, dans une chemise rouge et avec un regard timide, je voulais juste en savoir plus sur lui. Il est entré dans la classe, s'est assis tranquillement, a laissé aller la musique sur votre ordinateur Apple plâtré avec des pierres colorées et d'une expression sérieuse, il regarda. Il était tendu, tout le monde voulait le regarder et de voir ses tatouages, piercings, expressions...

 Jean-Luc Verna - est à la fois artiste et professeur à l'Université de Nice, où il est né en 1966. Il a grandi dans une famille extrêmement catholique de droite (selon lui, c'est la plus importante secte, rien d'autre). Il a commencé à se prostituer à 14 ans et ses clients étaient ces pères de famille catholique stricte. C'est à ce moment qu'il a déterminé le prix de son corps, et qu'il en a fait le domaine principal de l'ensemble de son travail.

Dans la rue Verna répond beaucoup à l'agression, le ridicule et l'incompréhension. Il utilise beaucoup de maquillage, mais sans se travestir. A l'origine, il se destinait à être danseur, mais il était obèse comme ses parents. Alors il a commencé à attirer des gens qui dansaient et plus tard il est devenu un artiste lui-même. Il a commencé par dessiner des images pour ses amis puis a étudié la peinture. X Man était autodidacte, cherché à imiter la peinture et il dit que s´abord il peint pas bien.

Jean - Luc Verna est lui-même un parasite. Par exemple, à l'ouverture de ses expositions les gens voulaient le voir lui et non ses peintures. Le corps, il aime parler de lui-même. Il attire un grand nombre de différents organismes, différentes couleurs et différentes typologies. Il prétend avoir eu sa vie à trois organismes. Premier quand Il prenait des amphétamines (jusqu'à 15 par jour!), deuxième de cocaïne et vodka et troisième du sport. Son corps pour lui, représentent les trois points de vue différents de lui-même, 3 organismes différents et trois libido différents.

Ses tatouages sont, comme il le dit, old school, punk, et contiennent également des extraits de la Bible. Son premier tatouage était la lettre V sur l'épaule gauche, comme Véronique - sa première petite amie. La dernière image que vous deviez faire trois jours avant la conférence et c´est le tatouage de la star. Il sait maintenant qu'il ne s'arrêtera jamais, c'est comme une nouvelle drogue. Décorer son corps c'est comme le protéger du vieillissement. Il est vrai qu'à son âge, au moins à une distance ne veut certainement pas. Certaines personnes lui disent que son corps est en soi une œuvre d'art et des artistes tels que de l'utiliser ainsi pour leurs performences. Un exemple bien connu est le projet de film avec plusieurs composantes de Andrzej Zulawski - Body Double, avec Jean-Luc Verna dans tous les rôles. La plupart de la musique dans ce film est la musique de Siouxsie , qui est son groupe préféré tant qu'il le peut.

Son travail peut être divisé en deux parties principales. Ses peintures et ses autres images. Dans ces connexions, il bénéficie?? de photographies historiques et rock & roll. Presque toutes les photos sont nues, mais il ne fait pas de photos pornographiques. Il se situe quand même toujours proche de cette frontière. Beaucoup de femmes posent, mais il fait valoir que c'est l'homme qui est toujours égoïste, qui se concentre sur lui-même. Ses photos de nus sont aussi une forme de protestation contre la normalisation du corps nu de la femme dans la photographie.

En ce qui concerne ses tableaux, très réaliste car il s'aide de photos anciennes, parce qu'ils croient que le passé sera à la mode de nouveau. Il utilise des motifs bibliques et saints. Il a sa propre technique de peinture. Il réalise le tableau, puis créé une copie de ce qui est plus agréable, dit-il. Après avoir travaillé avec Photoshop, l'image se transforme, et à ce moment seulement prend son sens. L'un des thèmes tels a 3 variantes, et seulement utilise ensuite colorie, ou d'autres techniques. Il n'aime pas les feuilles blanches, mais préfère travailler avec du papier déjà utilisé. Verna dit: "C'est la même chose que pour les femmes divorcées qui ne peuvent plus porter une robe blanche." Ses peintures ont très souvent un nom et si il est en anglais, cela a un lien direct avec une chanson ou une autre chose. Il utilise un peu l'anglais ainsi que certaines stratégies de marketing. Il est également l'auteur de plusieurs illustrations, dont il s'inspire en regardant des livres d'horreur pour les enfants - "Des Poupées bizarres". 

 





 

















Jean - Luc Verna est certainement une personne très intéressante et qui a beaucoup d'expérience. De l'extérieur, il agit comme une personne très confiante, mais personnellement, je pense qu'il est fragile à l'intérieur, ce qui est principalement due à son enfance. En tant qu'artiste, j'ai vraiment pris, parce que son travail est très différent pour moi de celui d'autres artistes. Il est souvent comparé à Félicien Rops, alors qu'il prétend qu'aucun motif n'est autorisé. Il est presque certain que, partout où cette personne apparaît, il attire l'attention. D'une part, il est très rapide à mémoriser, mais d'autre part, je pense que son apparence fait souvent de l'ombre à son travail. Quoi qu'il en soit, nous avons tous été impressionnés par cet homme et je pense que je suis parmi ceux qui surveilleront son activité artistique.






vendredi 6 mai 2011

Jean Luc Verna 29 Avril ,

 Un(Une) artiste très impressionnant(e)! Quand je l'ai vu c’était mon entretien dans l’école beaux-arts à Nice, il était un des juges, la première vue, avant l’entretien, j’étais étonné car ses tatouage, les piercings, les dents antérieurs en argent et sa tenu, je n’arrivais pas éloigner ma vue de lui ! Et pendant l’entretien il était vraiment gentil, il m’avait aidé pour expliquer mes œuvres quand je n’arrivais pas exprimer mon explication. Même si je n’avait pas réussi à entrer dans cette école, je voulais le remercier quand même.
Donc j'attendais avec impatience cette conférence.

Pendant le cours, il a raconté l'histoire de sa vie, il a dit qu’il vennait d’une famille pauvre, sa mère était méchante, inculte, il était très bizarre pour sa famille, parce que quand il était petit, il était comme une fille. Entre quinze ans et vingt ans, il se prostituait...etc ; il avait une vie très difficile, car son âme était une fille. ça me rappelle un ami qui est homosexuel aussi, il m’avait aussi raconté son histoire, dans son processus de grandir, il avait une vue insupportable, ses parents ne l’acceptaient pas, ses camarades se moquaient de lui...etc. Je pense qu’ils ont la même expérience d’enfance malheureuse.

           

Il nous a montré ses dessins, les photos de son corps et les films qu’il a joué en rôle..etc. Je trouve que ses dessins sont géniaux, son dessin accompagner d'un côté d’humoristique, de muscle et de satanisme. J’ai beaucoup aimé un portrait de lui lorsqu’il avait seize ans, c’était un portrait vraiment imaginatif, et un dessin de modèle vivante qui est en trains de péter. J’étais morte de rire. Pour les films qu’il a fait, c’était intéressant, il a joué tous les rôles, déguisé en femme, en homme, en vieux...etc, dans ses œuvres je trouve qu’un de ses caractères est misanthrope mais il est aussi libéral, enthousiaste et généreux, Il n’a pas besoin de respecter la vision d’homme, c’est pour ça que ses œuvres n’ont pas de limite, il peux faire ce qu’il veux.

Maintenant, il est un grand artiste national, je pense qu’il a gagné sa vie et gagné tous le respect !

Chen, Yi-Ping. 10273602 L3  Arts-Plastiques  2011 commentaire 3

Jean-Luc Verna

La première impression a été celle d'un homme qui a étudié longtemps ses poses et ses gestes, qui a construit parfaitement son personnage en détail. Jean-Luc Verna était là, debout face à son auditoire, avec son corps musclé, tatoué, piercié et habillé à la mode punk rock. Avec lui son pc marqueté de pierres colorées; il changeait, sans arrêt, les chansons à écouter à partir de son ordinateur. Il semblait un peu mal à l'aise au début, même si j'ai du mal a le croire en raison de son attitude évidemment exhibitionniste. Une figure sans doute charmante, si bien qu'il est difficile de traiter de ses œuvres sans dire quelque chose de son « apparence ».

Son corps, comme il l'a dit lui-même, concerne seulement sa sphère privée et facilite seulement la question performative de l'œuvre, mais il n'est pas son propos ni le sujet principal de son travail. Je dirai quand même que c'est un point focale de tout ce qu'exprime son travail en raison même de l'importance qu'il lui accorde dans sa vie. D'abord, l'obésité, son corps qui commence à avoir une valeur quand il commence à se prostituer, l'utilisation de drogues et leurs effets sur le corps et enfin la peur de la vieillesse au point de cacher les signes du temps avec les tatouages. La question de son corps a été la thématique dominante, elle revenait toujours dans son discours, donc impossible de n'en pas tenir compte.

Artiste éclectique, il sent le besoin de s'exprimer aussi dans la danse, la musique et la récitation, toutes disciplines qui concernent une attention fondamentale à son propre corps par rapporte à l'espace et au regard de l'autre, même si il tient à préciser que son œil est le seul juge.

L'élégance des gestes et la conscience de son corps se montrent dans la séries des photos où il se met en scène en citant, avec son physique imposant, des posées célèbres empruntées à l'histoire de l'art et à l'histoire du rock 'n' roll.

La figure anthropomorphe est toujours là, aussi dans ses dessins. Avec des corps musclés à la Michel Ange ou sous forme des squelettes, ses sujets sont surtout des anges, des chimères, des faunes, des diables. Influencé évidement par l'imaginaire Rock et Punk, il utilise aussi des images de l'iconographie religieuse. Il affirme avoir repris ces sujets dans les poubelles de l'art et avec une maquillage, comme il a fait avec son propre corps, il a leur fait jouer un nouveau rôle qui peut renforcer tous les sens de leur existence.



 L'intéressante est que ses dessins sont en vérité l'image d'eux-mêmes, c'est-à-dire leur calque. Jamais satisfait de son habilité de dessinateur, cet astuce lui permet de cacher le signe, la trace de la vivacité de l'artiste, le far presto, pour passer ensuite à d'autres processus de transfert. Après le dernier passage, il y a toujours des choses à intégrer, il est alors obligé de reprendre le dessin et de le 'réinterpréter' à sa manière en ajoutant quelque chose de neuf. Comme avec un processus d'écran, il cherche à s'éloigner de l'intimité des ses dessins pour ensuite retrouver une façon de se rapprocher avec la dernière intervention.

S'il doit inscrire son travail dans une catégorie, il dirait se reconnaitre dans un art New Wave, parce qu'on peut trouver dans son 'faire noir' (ses dessins à exceptions de ceux de sa jeunesse ne sont jamais colorés, puisque il se considère comme un mauves coloriste), dans ses petites choses réactivées et tordues, beaucoup des mots de la musique New Wave.

Un artiste à sa façon, qui n'accepte pas des compromis et qui décide de faire tout seulement à sa guise, a-t-il dit. Mais à quel point est-il influencé par le marché de l'art dans la réalisation de ses travaux? Est-il vraiment sincère?

Mais, puisque nous sommes de bonne foi, en rappelant ce que dit Oscar Wilde : «L'homme est moins lui-même quand il est sincère, donne-lui un masque et il dira la vérité», nous sommes déjà tous des fans de Jean-Luc Verna.





Cravan VS Freud

Un homme au corps imposant, un colosse de 105 kg sur 2 mètres 5, champion du monde de nihilisme qui a concrétisé le défi de Arthur Rimbou contre la civilisation. C'est Arthur Cravan ( pseudonyme de Fabien Avenarius Lioyd) neveu d'Oscar Wilde, boxer de profession et poète à ses heures, qui a eu une vie particulièrement excentrique. Pendant la première guerre mondiale,il a changé son identité et sa citoyenneté, il arrive même à franchir la frontière déguisé en femme , on dirait un colosse de femme. Normalement un poète déclame des vers, au contraire lui se déshabille et offre des démonstrations de boxe. Entre 1912 et 1915 il fonde la revue de critique brutale 'Maintenant' dans laquelle il attaque tous les poètes et les auteurs de prose de son époque, parmi ceux- ci les intouchables de la culture française comme Apollinaire ou Gide. Il en sera d'ailleurs l' éditeur et le rédacteur unique.




Ce n'est pas par hasard qu'il est considéré comme une icône du dadaïsme dans le Paris du début du XXeme siècle. Il représente l'esprit anarchique et nihiliste contre les valeurs traditionnelles de la société, qui par ailleurs ont permis le carnage de la guerre et par là il montre que les anciennes valeurs se révélaient facteurs de ruine.

Comme les artistes Dada qui vont contre tout modèle consolidé de beauté en amenant à l'exagération le rôle du hasard dans la création artistique, Cravan aussi refuse toutes les valeurs soutenues comme inspiratrices de l'artiste pour reconnaitre plutôt un rôle fondamental à la vie elle- même avec ses gestes simples et quotidiennes . En 1914 il écrit dans sa revue: « ...Le modèle pour un vrai peintre c'est la vie […] la peinture c'est marcher , courir, boire, manger, dormir, et faire ses besoins.»

Avec cette affirmation pour la première fois la vie dans sa totalité est déclarée reconnue comme source d'inspiration, avec les petits gestes qui nous rendent conscients d'être vivant.

Mais bien que cette affirmation puisse être très radicale en 1914 , dans la liste des besoins primaires de l'être humain, Cravan paraît avoir oublié un geste fondamental: l'aspect sexuel.

Il n'y a aucun doute que parmi les besoins primaires il est pour nous naturel de considérer le besoin sexuel comme source d'inspiration de création au même titre que marcher , dormir etc..

Mais il faut considérer que ce que pour nous est évident actuellement ne l'était pas du tout aux premières décennies du XX siècle. Il faut attendre la recherche psychanalytique de Freud, pour affirmer de manière « officielle » que le besoin sexuel ,qui suit la phase orale et anale du processus psico – sexuel, doit être considéré comme un besoin primaire de l'homme .


Les théories de Freud étaient considérées avec méfiance par ses contemporains, parce que il revenait toujours à des explications de nature érotique selon le processus de la psyché .Il est possible que le révolutionnaire Cravan, même si digne successeur de Wilde pour son effronterie et son attitude de provocateur, se soit méfié comme les autres de ces théories freudiennes en le jugeant trop audacieuses pour l'époque. Selon une autre éventualité Cravan n'était pas encore informé de toute la recherche freudienne: les textes sur la psychanalyse apparaissent déjà à partir des dernières années du XIXeme siècle, mais la renommée mondiale liée à leur diffusion remonte aux années 20 du siècle suivant.

Cette prise de conscience concernant l'acte de « faire l'amour » comme simple besoin primaire et corporel de l'homme dévalorisera l'importance de « l'amour sentiment » qui par contre a toujours inspiré toutes les expressions artistiques,( tant que quelqu'un se demandera quoi reste de l'amour après Freud..)

En conclusion, je crois que Cravan était si mordant au point qu'il ne se laissa pas entraver par la pudeur de son époque, il a très probablement retenu que son public n'était pas encore prêt à comprendre l'amour dans ces termes; il a pourtant préféré éviter le risque d'être accusé de vulgarité.





jeudi 5 mai 2011

Les étoiles s’en balancent

Jockum Nordström.

   Au mois d’avril, j’ai visité une exposition à l’institut suédois.  Il y avait à peine dizaine d’œuvres d’artiste suédois Jockum Nordström, Peintre et illustrateur, un des plus reconnus dans le monde, en 1er étage de la salle d’expos.
A travers des œuvres,  il nous raconte des contes surtout pour adultes avec une manière très érotique (mais cela ne se voit pas tout de suite).  En même temps, j’ai trouvé que c’était assez symbolique, imaginatif et satirique.   
En fait, il utilise des matériaux très modestes comme le papier, le carton pour le dessin, le collage et la sculpture. Il y avait aussi des maquettes de petite sculpture en carton,  qui avait l’air très légère, fragiles. C’était un logement collectif. Tout vide à l’intérieur.



Pour bien comprendre ses œuvres, je pensais que l’on a besoin de petite explication de chaque travail, car ce sont fortement implicite. Parce qu’il y a plein de dessins dedans. Il raconte certainement quelques histoires.
Personnellement, je ne voyais pas très érotique sauf certains dessins qui présentent figurativement  les formes sensuelles.  Mais je sais que chaque histoire est très érotique derrière le dessin.
Malgré  tout,  l’expression d’œuvres étaient remarquablement libre, naturel sans contraint et  il y a du  charme de légèreté. C’est ce que je voulais m’approprier depuis longtemps.

Bref, Cette expos est fini le 24.04.2011. J’ai du vous informer plus vite possible. Sorry !

mercredi 4 mai 2011

Nocturnes du Vendredi


Vendredi 11 ,18 et 25 mars à partir de 19h
Combat Danse, théâtre, recontre...


Vidéo:http://www.facebook.com/video/video.php?v=10150168018104792&saved

Au moment où je visitais l’exposition de Tony Cragg, j’ai entendu beaucoup de bruit et de tonnerre d'applaudissements qui vennaient du centre de la salle. C’était le jour de nocturnes du louvre, j’ai eu de la chance ! Il y avait beaucoup de spectateurs autour des danseurs, on était très proche comme on était dehors et voir les saltimbanques.

En faite, il y avait beaucoup de petites représentations dans les terrains vides, et les sculptures académique juste autour d'un des danseurs, c’était intéressant ! Les danseurs dansait avec la musique classique, et dans le centre de la salle, il y avait trois danseurs mâles, je pense que c’était à cause de leur sujet ‘’Combat’’, et le sexe masculin nous donne plus facile de l’impression de combat et de force.

Leur mouvement était doux mais accompagner de force et de beauté. J’avais l’impression que les danseurs dansaient dans un style plutôt libre, ils suivaient la musique en dansant avec leur sensibilité, et c’est pour ça, je trouve, que les danseurs avaient tous bien joués leur rôle. Et le plus spéciale pour moi c’est l’endroit où ils dansaient, dans ‘’Le Louvre’’, pour moi c’est un musée, un endroit qui est toujours calme, mais cette fois, il m’a donné une vision complètement différente ! Le musée n'est pas forcément juste un endroit où l'on expose des œuvres, des choses immobiles mais vivant !

Cette belle rencontre, m’a donnée une nouvelle vision du musée et aussi des idées d’exposition.











Chen, Yi-Ping. 10273602 L3 Arts-Plastiques 2011  commantaire 2

lundi 2 mai 2011

TONY CRAGG Figure out/ Figure in

 Lieu: Musée du Louvre
Date: 28 Janvier – 25 Avril 2011

Pourquoi j’avais visité cette exposition, car j’ai vu les œuvres de cet artiste dans le cours de design B ,j’ai vu qu’il avait plusieurs œuvres de sculptures lesquelles exposées en Angleterre sont vraiment magnifiques, il avait beaucoup de séries et de différent matériaux. En plus vous avez dit que cet artiste a une exposition dans le musée du Louvre en ce moment, ça me donnait envie de le visiter !!
                                            
                                 

En fait, son exposition était dans la salle laquelle pour exposer les grandes sculpture académiques, et il n’y avait pas exposé tellement d’œuvres, donc au début je pensais : Est-ce que je me suis trompé de salle... Non, c’était ici. C’était intéressant, ses sculpture avait la beauté de dissension et de différence dans ce lieu parce qu’il exposait ses sculptures avec les sculptures académique qui peut-être viennent d’époque Renaissance ou Baroque.
C’était les sculptures complètements différents des photos que j’avais vu, franchement, au début j’étais un peu déprimé, parce que je ne pouvais pas voir les sculptures qui m’a attiré l’attention, mais quand j’ai vu une de ses œuvre, j’étais étonnée, parce qu’il est grand, environ 2 ou 3m et qui a la forme comme l’être de l’univers, il a deux pieds et deux bras, il a plein de trou, il est fabriqué par des matériaux comme le caoutchouc et en beaucoup de feuillet. C’était impressionnant pour moi. Ses sculptures ont en différent couleur mais purs, comme le rouge, le noir, le blanc et la couleur marron. Pour ses formes, sont plutôt abstrait, simple et il utilise toujours ou répète les mêmes éléments pour créer. Par exemple, il y a les œuvres entassé par les formes comme des vagues, des arbres, ou des pierres et en figure inégal, son style m’a fait penser à la nature.

                         
                                                             

Quand je suis sorti de la pyramide j’ai vu sa sculpture juste devant accueil qui s’appelait ‘’Versus’’ (en latin qui signifie contre ou « en face de »), c’était une sculpture monumentale !! Et aussi spécialement produite pour l’occasion.
                                
En 2011, au Louvre il y aura les expositions des artistes contemporains, avant 25 avril c’est l'exposition du sculpteur anglais Tonny Cragg, puis c’est Mimmo Jodice l’artiste italien de photographie. Je pense que ça sera aussi intéressant.



Chen, Yi-Ping. 10273602 L3 Arts-Plastiques  2011 commentaire 1