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mercredi 25 mai 2011

Cut dream Exposition de Tania Bedrinana

Tania Bedrinana n’est pas un nom très connu, elle est une artiste péruvienne prolifique qui vit et travaille à Berlin. Pour sa seconde exposition personnelle en France, elle propose d’un assemblage de créatif de dessins, sur divers supportes dans la galerie de Paris 8.
Ses œuvres sont reconnaissables pour son style spontané, subtil, minutieux, mais aussi pour ses installations éphémères de papier découpé. Même si, personnellement, elle se situe à la frontière de deux univers culturels, ses œuvres ne sont affiliées à aucun de ses deux pays. Son travail se fonde grâce à un travail de concentration personnelle.
Elle met ses dessins au centre de l’exposition afin de montrer le flux structuré de son travail. Passant du simple dessin au crayon, par l’installation en papier découpé ; le dessin in-situ ou encore la projection de ses travaux, cet assemblage réunit plusieurs fragments de figures initialement créés pour divers lieux et dates. Le tout suggère la reconstruction d’une connexion invisible entre les ouvres. Cet ensemble semble à première vue narratif, mais il n’a pas de liaisons rationnelles ni historique comme le seraient les images d’un rêve. Celles-ci souvent des corps humain découpés s’échappent de l’espace d’exposition. Elle laisse la partie invisible du corps comme une figure chimérique dont on ne se souviendra jamais. Cette absence d’images nous permet d’imaginer la connexion suggérée, de sorte que le spectateur soit en mesure de conclure les expériences créatives grâce à sa propre imagination.
C’était dommage que la médiation est échoué, il manque de couleur, dont il a l’air trop vide dans salle de l’exposition, trop légère, il n’y a pas de lien avec l’espace et les œuvres.






samedi 14 mai 2011

La semaine des arts

28/03/2011-01/04/2011, cette semaine est un peu différente que les autres semaines, c’est la semaine des arts, ce sont des expositions, des concerts, des forums, des ateliers, des spectacles, des débats, des projections, des performances, des tables rondes… Cinéma et Danse, Arts plastiques et Philosophie, Musique et Photographie, Théâtre et Images numériques, toutes les formations en art de l’université Paris 8 y sont engagées. Enseignants, artistes, étudiants, chercheurs y présenteront leurs œuvres et leurs problématiques, y donneront leurs représentations et leurs critiques, dans notre l’Université.
Pour cette semaine, les plus m’intéresse est 29/03, parce que ce jour là, il y en a des conférences de mémoire, et installation de mystère la journée de la voile, et encore des jazz du département de musique.
A 10h du 29, quand je entrée de l’université, j’ai vu des voiles blanches l’université. Des matériaux (bombes, peintures, encres) sont laissés en libre usage pour permettre la libre expression sur les voiles. Autour du slogan « Pose un bout de toi et bien plus encore », l’objectif de cette journée est d’inviter tous les passagers de l’université à laisser une trace (un mot, une tache, un dessin...) qu’ils souhaitent faire voyager. Et je vais aller à l’amphi x, j’ai aussi vu une voile blanche, donc il y en a beaucoup…je souviens quelques jours avant, y a une voile rouge avec quelque truc intérieur je ne savais pas, elle peut bouger, parfois je l’ai vu dans bibliothèque, parfois dans la salle de exposition ou dans le couloir, au début je pense c’est juste une poubelle, en fait ce n’est pas titré mon à d’attention, jusqu’à ça bouge sans cesse, à la fin, je savais c’est une installation. Les deux expositions donc un peu similaire.
A amphi x avec certains d’enseignants, sur le thème de Mémoire, c’est par rapport l’art entretien une relation forte avec la mémoire, ils ont posé une intention d’éphémérité, mais en effet je le connais pas…la contenu était trop esthétique, j’écoute un peu et je sors… je comprends rien…mais je soupçon le point est entre indemne et endommagé dans le parcours d’expérience. Fin tant pis.
Ensuite, Conférence da nsée Quasi-Waltz de Doris Humphrey (1929), bien que je ne sois pas étudiante de musique, j’aime bien voir comment ça se passe, Cette présentation viendra conclure le travail d’un atelier de répertoire consacré à la danseuse américaine Doris Humphrey et plus particulièrement à l’un de ses solos, Quasi-Waltz, créé en 1929, sur une musique de Scriabine. Peut-être quand je finis mon étude d’Arts plastiques, je vais essayer département de la musique ou la danse, mais je pense que c’était un peu tard…

LEONID TISHKOV Ballade Lumineuse

Un aphorisme de Chesterton dit : "il n'y a pas de foi privée, pas plus qu'il n'existe de soleil ou de lune privés".

 Hors pour l'artiste Leonid Tishkov et nous, la pensé est contraire. Nous sommes seuls dans l'existence et nous le restons face à la question du temps, de la vie et de la mort. Face à la question de l'apparition et de la disparition de la lune, face au soleil et face à tout ce qui nous fait vivre...

  C'est pourquoi l'artiste voyage avec sa lune privée. il fait une description exacte sa lune qui est aussi sa compagne. Il fait toutes choses avec elle et passe tout son temps avec sa lune, comme un couple normal du monde. La couvrant d'une couverture, lui offrant des pommes d'automne, partageant avec elle une tasse de thé, etc... Il vit dans le monde réel tout en étant dans un monde imaginaire. Chaque photographie nous racontre une histoire poétique, un petit poème, qu'il décrit avec des croquis accompagner de vers. Dans la galerie, une musique de Peer Gynt du Edvard Grieg, crèe une atmosphère chagrine, lourde, mais pourtant plein de tendresse à l'intension de sa lune (sa femme/copine). J'aime son côte naïf, sa simplicité qui traduit une belle forme de confiance en soi et en ceux à qu' il offre ses images.

  Il redonne à l'art une image romantique et crée un monde lyrique et poétique, transpercé de la lumière lunaire, triste, radieux et pur. Sa mémoire russe imprègne les pièces L'ambiance russe est présente, par le sable blanc qui représente la neige, par la lumière temps tôt chaude et temps tôt froide qui se degage de l'enssemble de l'exposition.
 
  À la fin de ma visite, je me suis arrété sur la petite vidéo dans laquelle on voit  l'artiste dessiner sur le sable. Je ne pouvais pas voir clairement qu'est-ce qu'il dessinait sur le sable blanc. Est-ce la neige infinie, blanche, éblouissante, peut-être est-ce ses mémoires infinie en Russie, on ne sais pas. 



Claire Morgan Life. Blood.

Claire Morgan est une jeune artiste Irlandaise qui a fait cette exposition de sculptures-installations spécialement.

Le travail de Claire Morgan est aussi une tentative personnelle cherchant à évaluer la complexité, la beauté, l'horreur et la vanité de l'être humain et de l'animal.

Dans l'exposition, une chouette et des milliers de graines sont en suspension dans l'air ainsi que des fragments de déchets plastiques et des cafards. En outre, elle réalise la taxidermie sur une feuille de papier qui sert ensuite de support au dessin. Le papier garde la trace des résidus de la taxidermie, des fluides corporels de l'animal, des traces de scalpel ainsi que des produits chimiques utilisés, et des notes de l'artiste concernant la taille du spécimen. De plus elle semble aimer la précision anatomique ainsi que côtoyer le désordre de la véritable mort de l'animal.

Toutes ses oeuvres ont une ambivalence, la beauté plastique et la gracilité des insects s'opposent à l'horreur macabre de leur mort. Les installations en suspension révèlent un état entre mouvement et immobilité. La différence entre le bon et le mauvais reste vague, les animaux sont petits, mais beaux, l'insect en lui-même est insignifiant, mais en nombre ils sont impressionnant, et prenent une autre dimension. Par le choix des couleurs et la forme qui l'entoure l'artiste semble donner une nouvelle vie à ses cadavres.

En bref, l'oeuvre de Claire Morgan attir notre attention sur l'évènement banal de la vie, pour nous permetrre de constraté que l'être humains, comme tout élément du monde naturel est fragiles. Cependant on doit bien admettre que elle a raison, nous devons réflechir la relation entre la nature et nous et ce qui en découle.




Conférence de Jean-Luc Verna

29 avril, pour moi c’est un grand jour, parce que Jean-Luc Verna est venu chez notre cours. Physiquement, il est franchement différent que les autres artistes, les tatouages partout même la tête et le visage, les contours des yeux foncés et avec des sourcils élancé noir, au premier d’œil, nous pouvons utiliser tous les mots facultativement comme truculence, farouche, désagréable, dangereux. Si j’ai vu les gens comme ça dans la rue, je pense je vais l’éviter plus loin possible…
Cependant, pour lui, subvention complètement. Il parle doucement, gentil, patienté et plein de gestions plutôt féministe, parce que il est un professeur à Nice et en même temps il participe à des spectacles de danse, dans ses dessins et photographies, il provoque les répétitions références, face aux grands personnages historiques artistiques ainsi que ceux de la scène rock contemporaine. Il utilise plusieurs médias, dessine et sculpte son propre corps, se mettant à l’avant-garde dans sa vie quotidienne dans ses œuvres. Ses dessins, les transferts, les photocopies sont renforcées par le maquillage et fard à joues, véhiculant l’image de la culture queer.
Ses œuvres sont des processus complexes de références, des juxtapositions pittoresques et des réinterprétations de grands travaux et des scènes de la vie quotidienne.
Il a commencé à sa création à la fin d’année 80s, à Nice, sa ville natale, Avignon, et Galerie Air de Paris, même les étrangers.
Les choses sont difficile commencer à premier étape, je pense que pour son première exposition et aussi pour le premier tatouage, il est vraiment de courageux.



Gaîté lyrique Parcours artistique UVA

Mercredi soir, 02 mars 2011, c’est le grand soir pour la Gaîté lyrique, elle ouvre à nouveau ses portes. C’est un lieu qui propose des expériences artistiques exceptionnelles, qui permette de mieux comprendre l’époque extraordinaire dans laquelle nous vivons. Une révolution numérique se produit sous nos yeux. Ses effets sont omniprésents dans nos vies et nos relations sociales.
  La création visuelle, le design, le film, le jeu vidéo, le spectacle, la musique, les médias, internet, tout notre environnement créatif se transforme inéluctablement.
  UVA est un collectif d’artistes britanniques d’art et de design basé à Londres depuis 2003. Leur travail porte sur l’architecture, l’image, la musique et la lumière. Ils produisent des œuvres immersives, en permanente interaction avec le public.
  Leur installation, conçue en résidence à la Gaîté lytique, interroge la production et le partage des savoirs face au développement des nouvelles technologies et d’internet. Elles questionnent notre appartenance à un ensemble dont il faut avoir conscience pour ne pas faire des évolutions technologiques un piège pour l’humanité.
  Le duo français I COULD NEVER BE A DANCER, en résidence à la Gaîté lytique, orchestre une performance inédite à l’échelle du bâtiment. Ponctuellement en conversation avec le parcours d’UVA, une série de performances joue avec les principes des nouvelles technologies, en inversant le processus actuel qui tend à les humaniser.




"Personnes" L'exposition de Boltanski

Personnes
                                             L'exposition de Boltanski


  Quand j`suis entrée, il y avait un bruit autour de la coupole du Grand Palais. Ce bruit venant d'une folle de gens, était comme celui de palpitation qui résonne sur les murs. 
 
   L'art de Boltanski est plein de tragédie, d'humour et de fantastique.
 
  Crier. Mais, trop froid.

  "Personnes" ne fait allusion à la mort. Tout d'abord, un grand mur compose de boîtes rouillés, chaqu'une a un numéro, et un contenu inconnu. La profusion de vêtements anciens placés en forme de carré fond pense au par terre de fleur devant la maire ceci mettent un fond au sol. Les pardessus et pèlerines jadis en vogue sont maintenant obsolètes et sans formes. Les pulls brillants, les t-shirts déchirés et même les jupes négligées ---sont ici paradis de clochards ou dernier jour de solde.
 
  Chaque morceau est encadré par des cylindres de fer rouillé et, il y a des fils électriques et des néons sont suspendus. La lumière faible a une tonalité de carnaval désolé, ou les coupables passent en jugement dans le stade. C'est difficile ne pas penser l'expulsion et le massacre, un thème que manipule souvent Boltanski.
    
  Entasser, les manteaux anciens sont comme une montagne gigantesque que manipule à répétition un excavateur, temps tôt des pulls, temps tôt des jupes et des manteaux sont jetés en l'air. Le but étant juste de faire flotter les vêtements sur la  montagne comme de la poussière. Ce processus interminable permet de comprendre les paroles de Boltanski qui dit "je pense ce processus comme la main impitoyable de dieu, ou dans le parc de loisirs, on a essayé saisir un jouet, mais toujours rater".

  "Mourir et quitter" sont des thèmes bric-à-brac qui font clichés, mais populaire. Les expositions de la mort sont toujours comme ça. Mais, Boltanski est plein de sollicitude envers la trace, il ne pense pas au fantôme, utilise pas de silhouette, de liste, ou même de photos de la mort, ce qui utilise ce sont des vêtements, pour soutenir son thème.
 
   Le but final de son art est de commémorer le néant, pour chacun et personnes.


Le corps photographié, JOHN PULTZ et ANNE DE MONDENARD

Le corps photographié, JOHN PULTZ1  et  ANNE DE MONDENARD2
Flammarion, paris, 1995 pour l'édition française
174 p., 124 ill. coul., div. annexes, bibl.

Largement représenté depuis les origines de la photographie, le corps devient un thème majeur des années 1980. Revendication de l'homosexualité chez Mapplethorpe, interrogation sur les stéréotypes féminins chez Cindy Sherman, représentation d'un corps vieillissant chez Coplans, réflexion sur l'immutable avec des photographies grand format de cadavres chez Serrano...  Cette omniprésence du corps dans la production contemporaine est une représentation dans l'histoire de la photographie.
  C'est pourquoi les auteurs de ce livre refusent de s'engager dans une analyse uniquement stylistique des images. Pour eux la photographie n'est pas un medium objectif. Chaque image révèle, au-delà du sujet représenté, les relations photographe, relations de pouvoir, de sexe, de race, de classe. Pour les préciser, les auteurs s'attachent à replacer chaque prise de vue dans son contexte historique, sociologique, psychologique.
  Illustré d'œuvres appartenant déjà à l'histoire de la photographie mais aussi d'images moins connues, le livre suit un plan à la fois chronologique et thématique. Sont abordés, après les premiers portraits de Bayard et de Nadar, les problèmes de l'ethnographie et du racisme, de l'identité judiciaire et de la recherche du faciès type, mais également le nu et la sexualité. Les auteurs évoquent les grands courants artistiques, comme le modernisme aux Etats-Unis avec Weston et Stieglitz, le surréalisme et les mouvements d'avant-grands en Europe, avec Man Ray, Kertész, Rodtchenko. La prise en comptes de grands thèmes historiques permet de mettre à jour des représentations caractéristiques qui émergent à l'occasion de la grande dépression aux Etats-Unis avec Walker Evans et Dorothea Lange, ou pendant la crise sociale en Europe avec August Sander et Bill Brandt.
  Il y a six chapitres plus important dans ce livre, ce sont des L'exploration du corps au XIXe siècleLe nu et la sexualité(1850-1920)Le corps objet(1910-1940)Le corps tragique(1930-1970)Archétypes(1950-1990)La chair dans ses états. Et puis, plus l'introductionChronologieBibliographie et Index.
  Cette ouvrage se propose ainsi d'étudier l'évolution de la représentation du corps humain au travers de la photographie, et étudie les interactions de ces différents types d'images avec la notion d'identité personnelle, la sexualité, la société, la pouvoir, l'idéologie, la politique. Il s'appuie pour cela sur un certain nombre de concepts issus de domaines divers, du marxisme aux théories psychanalytiques, ainsi que sur de nombreux exemples empruntés à l'anthropologie, la littérature, l'histoire, la sociologie et l'histoire de l'art. Retraçant le développement des styles et des techniques, il présente des photographies célèbres comme de moins connues, des images à vocation artistique comme à caractère documentaire. Cette ouvrage aussi considère la photographie non comme un outil innocent, mais bien plutôt comme un instrument actif par lequel la société s'est structurée.
  Les photographies traitent de la sexualité, du vieillissement, de la disparition, de la mort ainsi que du concept d'identité. On ne peut qu'être troublé par l'abondance de ces images morbides, souvent de très grand format, peuplées de malformations diverses, de corps morts, décomposés, où semblent se traduire toutes les inquiétudes d'une fin de siècle, mais aussi il va être un grande influence sur la photographie contemporaine.
JOHN PULTZ 1 est professeur d'histoire de l'art à l'Université du Kansas et conservateur du département photographie au Spencer Art Muséum.
ANNE DE MONDENARD 2 est chargée de la collection de photographies du Musée des Monuments français à Paris.

"Jour et nuit" Centre Georges Pompidou

Je ne trouve jamais facile de critique sur le travail d'un artiste. Il faut nous ouvrir, laisser notre être entier percevoir, éviter de nous fier seulement à ce que notre côté cérébral nous transmet. C'est à mon avis la seule façon de pouvoir nous faire une opinion. Cette ouverture à une œuvre peut parfois être très exigeante mais, pire, elle peut aussi être décevante. Il est difficile d'écrire sur le travail d'un artiste, surtout le travail nous laisse indifférent, ou presque.
  Malheureusement, l'installation de "jour et nuit" tombe dans cette catégorie. C'est une petite salle noir, et juste un film. J'admets qu'il y a une certaine beauté dépouillée dans le paysage qui tient lieu de décor. Un paysage de face, puis filmé sur la droite et enfin braqué son objectif aux bois à brûler sans bouger, les images transmettent une impression d'infini. Il y a quelque chose de contemplatif dans ce champ, la terre, les nuages et cette ligne d'horizon, mais tout cela tourne court derrière cette plastique : le vide. J'avais envie de dire : « Ce n'est pas mal comme entrée en matière, mais encore, qu'est-ce à dire ?! »
  À intervalles irréguliers, des balles rebondissent de façon incongrue sur les murs, brisant à la fois le calme et le silence de l'image bucolique. Une fraction de seconde, comme une tache, comme une égratignure. Le son des balles qui rebondissent crée une trame sonore amusante, mais sans réelle nouveauté. Le sol est jonché de petites balles multicolores qu'on peut s'amuser soi-même à lancer dans le paysage. Il s'agit probablement de l'aspect « ludique » dont il est fait mention dans le communiqué. En tout cas, Coca, mon chiot de huit mois dont je commence l'éducation artistique, a vraiment beaucoup apprécié cet aspect de l'installation.
  Ce film a environ 30 minutes, les autres visiteurs ont vu 10 secondes après ils sont partis, et moi, je suis resté à la fin, mais je n'avais pas trouver quelque chose différent ou le trace dans l'œuvre, et c'est bien dommage que nous ne trouvions pas le texte du carton accompagnant sur mur, peut-être cacher dans le noir. De toute façon, je veux lire les commentaires d'un « expert » pour arriver à trouver de la valeur à l'œuvre... c'est mal barré !
  C'est peut-être parce que ce que j'avais lu sur "jour et nuit" présageait un travail beaucoup plus onirique et habité que j'ai eu l'impression de rester sur ma faim, aussi j'avais l'impression de me retrouver dans une version désuète d'un jeu de tennis.